Frieder Bernius

Frieder Bernius

Né à Ludwigshafen en 1947, il fonde le Kammerchor Stuttgart (Chœur de chambre de Stuttgart) en 1968 afin de hisser la musique chorale a cappella à un niveau professionnel.
Frieder Bernius a travaillé depuis 1977 avec de nombreux orchestres pour atteindre un équilibre entre les parties instrumentales et les parties chorales dans le répertoire symphonique. C’est pourquoi il ne se limite pas à une période donnée de l’histoire de la musique. C’est sous son impulsion qu’ont été créés l’Orchestre baroque de Stuttgart (Barockorchester Stuttgart) et le Festival international de musique ancienne de Stuttgart (Internationale Festtage Alter Musik Stuttgart) pour développer l’intérêt porté aux interprétations authentique de la musique des XVII° et XVIII° siècles.
Bernius dirige actuellement le Chœur de chambre de Stuttgart, l’Orchestre baroque de Stuttgart, la Philharmonie classique de Stuttgart (Klassische Philharmonie Stuttgart) et la Hofkapelle Stuttgart.

Ah voilà un sujet opportun, merci Jean Michel !

Bach, Cantates 206, 207-A, Sony 1991

Bach, Messe en si, Carus 2007
Bach, Motets BWV 225-229, Sony

Bach, Oratorio de Pâques – C.P.E. Bach, Danket dem Herrn, Carus 2005
Brahms, Musique vocale sacrée, Carus 1990
Brahms, Quatuors à quatre voix et piano, Profil 2007
Brahms, Un Requiem allemand, Carus 2002
Brahms, Warum ist das Licht gegeben, Carus 2001
Bruckner, Messe n° 2 pour chœurs et vents – Locus iste, Sony 1992
Gluck, Orphée et Eurydice, Sony 1992
Haydn, Les Sept dernières paroles de notre Sauveur sur la Croix, Profil 2006
Homilius, Motets, Carus 2004

Jommelli, Didone abbandonata, Orfeo 1996
Jommelli, Il Vologeso, Orfeo 1998
Kalliwoda, Symphonies n° 5 et 6, Orfeo 2006
Ligeti, Lux æterna – D. Scarlatti, stabat Mater – Mahler, Ich bin der Welt abhanden gekommen, Carus 2001
Mendelssohn, Elias, Carus 2008

Mendelssohn, Œuvres sacrées vol. I, Hör mein Bitten, Carus 1983
Mendelssohn, Œuvres sacrées vol. II, Vom Himmel hoch, Carus 1985
Mendelssohn, Œuvres sacrées vol. III, Christus, Carus 1987
Mendelssohn, Œuvres sacrées vol. IV, Wie der Hirsch schreit, Carus 1997
Mendelssohn, Œuvres sacrées vol. V, Denn er hat seinen Engeln befohlen, Carus 1997
Mendelssohn, Œuvres sacrées vol. VI, Verleih uns Frieden, Carus 1999
Mendelssohn, Œuvres sacrées vol. VII, Hebe deinen Augen auf, Carus 2006
Mendelssohn, Paulus, Carus 2007
Mendelssohn, Songe d’une nuit d’été, Carus 1998
Monteverdi, Vêpres de la Vierge, DHM 1995
Mozart, Requiem K 626, Carus 2006
Mozart, Zwischen Himmel und Erden, Œuvres spirituelles (avec Harnoncourt, Kaljuste, Neumann), Carus 2006
Naumann, Aci e Galatea, Orfeo 2003

Reger, Cantates pour chœur, Amati
Reger, Œuvres vocales III, Es waren zweÿ Königskinder, Carus 2006
Reicha, Leonore, Orfeo 2003
Rheinberger, Musique sacrée (vol. II) Cantus Missæ, Carus 1989
Schnittke, Mocnik, World Youth Choir 1999, dir. Bernius et Graden, Carus 2000
Schönberg, la Nuit Transfigurée - Strauss, Métamorphoses, Carus 2003
Schubert, Messe en si bémol majeur, Berlin Classics 1996
Schubert, Œuvres pour chœur, Profil 2007
Schubert, Ouverture D 8 – Beethoven, Quatuor à cordes ap. 135 – Hartmann, Concerto funèbre, Carus 2007
Schubert, Sakontala (opéra en deux actes), Carus 2008
Schütz, Historien der Geburt und Auferstehung Jesu Christi, Sony 1991

Schütz, Psalmen Davids, Sony 1993

Zelenka, Missa dei Filii, DHM 1990
Zelenka, Missa dei Patris, Carus 2000

Zelenka, Missa Ultimarum sexta Omnium sanctorum, Sony 2002

Ca fait envie tout ca !

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Il ressemble beaucoup à l'acteur Klaus Maria Brandauer

Gluck, Orfeo et Euridice avec Nancy Argenta et Michael Chance, en version italienne. Certaines interventions de Michael Chance sont assez bizarrement placées mais le tout est réellement un plaisir. On rappelle que aversion réputée de Minkowski est la version française de l’œuvre, un peu différente.

Schubert : Ouverture D 8 – Beethoven : Quatuor à cordes op. 135 pour orchestre à cordes – Hartmann, Concerto funèbre, dir. Frieder Bernius (Carus 2007)
Je suis admiratif face au quatuor de Beethoven

Illustration : M. Ackermann, composition homophone

quel curieux programme...où Bernius a laissé son choeur!
Karl Amadeus Hartmann est je suppose un contemporain des deux autres?

Non, c'est ce Hartmann-là.

ma mémoire ne s'arrange pas!!
...mais le programme n'en est que plus curieux!

Oui, mais ça colle assez bien, dans le ton surtout. Hartmann n'est pas non plus le plus grand des novateurs !

György Ligeti : Lux aeterna - Anne Boyd : As I crossed a bridge of dreams - Gustav Mahler : Ich bin der Welt abhanden gekommen - Domenico Scarlatti : Stabat Mater (Carus 2001)
Un programme assez étonnant. J’en suis à Ligeti dont j’aime beaucoup cette œuvre : c’est en tout cas très beau.

un beau "mélange" pour faire connaitre ce qui qui ne nous attire pas a priori..