A l'écoute (Playlist d'Universalis)

C'est tres beau mais ecouté d"une oreille distraite

... sans que la voix ait sollicité l'attention ?
(Ceci dit, certains jours je ne réagis guère à des disques qui m'émerveillent habituellement)

eh puis il y a des moments où l'on est occupé à faire autre chose et le désir de découvrir une nouveauté ne résiste pas à un survol où toute l'attention n'y est pas!...une promesse pour après!

Jean a écrit:

ce dvd est une vraie arnaque: il n' y a pas un seul concerto intégral!! soit un ou deux mouvements!!

d'autant plus que c'est superbe!!!!

Ça compense un peu...

merci de me faire voire le bon coté

Je sais bien faire ça (sauf parfois pour moi-même).

Ma découverte du jour !

et après ce sera ca !

et enfin

Le Goebel est emballant ! Genial, brillant ! J'ai rarement entendu quelque chose d'aussi enthousiasmant dans ce répertoire.

c'est une réédition?...vu les compositeurs çà ne m'étonne pas! un de plus qqui m'avait échappé!

Tiens, je ne le connais pas, ce Goebel. Une belle nature morte (la jaquette). Certains de ses Telemann me font le même effet : ils vous soulèvent !
Tu t'es décidé à adopter Dufourt ?

Dufourt, après faudra passer a Murail et Grisey... pis certains Glass.

Mark Andre : durch - … zu... - … in - … als... II, par le Trio Accanto et l’Ensemble Recherche (Kairos 2008)

Les titres sont énigmatiques, mais le compositeur en donne les clés.
Durch (par) renvoie à l’Evangile selon saint Luc : « Luttez pour entrer par la porte étroite, car beaucoup cherceront à entrer et ne le pourront pas.
Zu (vers) renvoie à l’Evangile selon saint Jean : « un état paradisiaque situé au-delà du temps ».
In cite la tradition des In Nomine des XVI° et XVII° siècle.
Als (quand) renvoie à l’Apocalypse « quand l’agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence (...) »
A écouter la musique, on peut être surpris des renvois presque mystiques. Même si l’écriture semble faire beaucoup appel à l’informatique, elle recèle cependant une chaleur entrecoupée de fêlures (je pense par exemple au son du violoncelle). Ça ne dit pas grand chose de ce qu’on entend en fait... Le compte-rendu dans un des derniers numéros de Diapason non plus d’ailleurs. J’ai bien envie de faire mieux un de ces jours, à l’occasion d’une nouvelle écoute.

Nicolas Bacri : Cantates, Notturno pour hautbois - Orchestre de Bayonne, dir. Xavier Delette, François Leleu, hautbois (L’Empreinte digitale 2003)

Des cantates contemporaines au « classicisme intemporel » en dit le compositeur. Encore un nouveau sujet en perspective...

Debussy : Nuit d’étoiles par Xavier de Maistre à la harpe (RCA 2008)

Quel livret ! En dehors de la frimousse avenante du harpiste, il y a quand même un petit texte... Diana Damrau dans les mélodies.

Jan Kobow, j'ai commencé à l'entendre dans Telemann : le Messie, la Mort de Jésus (Der Tod Jesu). Je l'ai aussi dans Haydn, Heandel et Bach.

La Voce del violino par Enrico Onofri (Zig Zag 2007)

L'illustration montre un tourbillonnement, c'est exactement ce qu'on entend dans les différentes pièces (Cima, Uccellini, Fontana, Monteverdi, etc.) : un chant communicatif du violon.

belle oeuvre !

en effet...j'ai la version Harnoncourt

Jarvi semble aussi à son aise

oh je n'en ai pas le moindre doute!...c'est le frère de Paavo?

Oui le petit si j'ose dire

Mozart~La Flûte Enchantée
Karajan/Dermota, Seefried, Kunz/1950


Première écoute de cette version qui trainait chez moi. Il faut dire que je ne suis pas trés gaté niveau Flûte Enchantées : Mackerras et celle ci. J'ai une folle envie de prendre Böhm avec DFD et Wunderlich.

Je viens de commencer ; l'ouverture a l'air réussie.

guillaume...pour bohm tu as aussi sa premiére version chez decca qui est pas mal avec simoneau,berry et gueden