Universalis
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Universalis

Un forum pour parler librement de musique classique
 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache
Voir le deal
64.99 €

 

 Mikis Thedorakis (1925 - )

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Jean
Sage du forum
Sage du forum
Jean


Nombre de messages : 12123
Age : 81
Localisation : Hte Savoie
Date d'inscription : 10/04/2007

Mikis Thedorakis (1925 -     ) Empty
MessageSujet: Mikis Thedorakis (1925 - )   Mikis Thedorakis (1925 -     ) Icon_minitimeDim 1 Aoû - 16:47


--------------------------------------------------------------------------------

Míkis Theodorákis, compositeur et homme politique grec, est né le 29 juillet 1925 sur l’île de Chios (Grèce). Son père était originaire de Crète et sa mère d'Asie Mineure.

Passionné de musique dès son enfance, il écrit ses premières compositions à treize ans. Après l'occupation de la Grèce en 1941 par les troupes allemandes, italiennes et bulgares pendant la Seconde Guerre mondiale, il est arrêté une première fois à Tripolis en 1942 par l'occupant italien. L'année suivante, il est de nouveau arrêté et torturé. Relâché, il entre dans la clandestinité à Athènes et devient membre de l'Organisation du Front National de Libération. Il milite dans la Résistance et suit parallèlement, en cachette, des cours au Conservatoire d'Athènes auprès de Philoktitis Economidis.
Après la Libération, Theodorakis entre dans la lutte contre la prise de pouvoir par les forces contre-révolutionnaires qui engendre la guerre civile en Grèce de 1945 à 1949. Arrêté plusieurs fois, Theodorakis est si violemment battu par la police lors d'une manifestation, le 26 mars 1946, qu'il est tenu pour mort et transporté à la morgue. Déporté une première fois en 1947 à l'île d'Icarie, il est transféré en 1948 à Macronissos. Affreusement torturé et deux fois enterré vivant, Theodorakis est un des rares à sortir de cet enfer, grâce à son père et à des camarades d'infortune, mais pendant dix ans encore il souffrira de la « fièvre de Macronissos ».
En 1950, il fait ses examens au Conservatoire et obtient son diplôme en harmonie, contrepoint et fugue, et le 5 mai, son œuvre Assi Gonia y est créée. En 1953, Mikis épouse Myrto Altinoglou. L'année suivante, les jeunes mariés obtiennent tous les deux des bourses d'études et peuvent aller à Paris. Mikis s'inscrit au Conservatoire de Paris dans les cours d'Eugène Bigot et d'Olivier Messiaen. Sa Suite n° 1 pour piano et orchestre obtient en 1957 la médaille d'or au Festival de Moscou ; trois musiques de ballet : Antigone (chorégraphie de John Cranko à Covent Garden), Les amants de Téruel (ballets de Ludmila Tcherina) et Le feu aux poudres remportent un grand succès à Paris et à Londres.

Theodorakis, au moment où il réussit à entrer dans le cercle des jeunes compositeurs internationalement reconnus, découvre la musique populaire grecque. Sur les paroles de son frère Yannis, il compose Lipotaktes (« Le déserteur ») et sur le cycle de poèmes de Yánnis Rítsos, il écrira Epitaphios, l'œuvre avec laquelle il créera la renaissance de la musique grecque et suscitera une révolution culturelle dans sa patrie dont les conséquences persistent toujours.
La Droite en Grèce le considère comme une des plus grandes menaces pour elle, mais quand elle assassine le docteur Grigoris Lambrakis (« Z »), Theodorakis prendra la tête de la Jeunesse Démocratique Lambrakis qui deviendra avec 50 000 adhérents, la plus forte organisation politique en Grèce. Mikis est élu au parlement et, avec les Lambrakidès, il fonde plus de deux cents centres culturels dans son pays. Il compose œuvre sur œuvre, en utilisant les plus beaux textes de la littérature grecque des XIXe et XXe siècles.

Le coup d'État du 21 avril 1967 du colonel Yeóryos Papadópoulos et de ses acolytes oblige Theodorakis à entrer à nouveau en clandestinité d'où il publiera deux jours après le putsch, le premier appel à la résistance. Arrêté le 21 août 1967, il est plus tard placé en résidence surveillée à Vrachati, puis banni avec sa famille à Zatouna, un village de montagnes des Arcadies (d'où son cycle de compositions Arcadies I-XI), déporté au camp de concentration d'Oropos et finalement exilé, à la suite de plusieurs campagnes internationales de solidarité initiées e.a. par Dmitri Chostakovitch, Leonard Bernstein, Arthur Miller ou encore Harry Belafonte.

Le 13 avril 1970, Theodorakis arrive à Paris. À la tête du « Front Patriotique », il continue le combat. Il fait la connaissance de Pablo Neruda. Des tournées dans le monde entier avec des milliers de concerts dédiés à la restauration de la démocratie en Grèce, font de lui le symbole vivant de la résistance contre la dictature.

Rentré triomphalement en Grèce, le 24 juillet 1974, Theodorakis est vite à nouveau la cible des attaques, cette fois de la Gauche, parce qu'il plaide pour Constantin Caramanlis et un passage en douceur vers la démocratie, de peur de voir un nouveau coup d'État écraser la frêle fleur de la démocratie renaissance (Caramanlis ou les tanks).
En 1980, il s'exile volontairement à Paris, reprend son œuvre symphonique des années 50, la métamorphose en des travaux d'une remarquable force expressive.
Il achève la composition du Canto General qui, à côté de Zorba le Grec et d'Axion Esti, devient l'œuvre qui le rendra mondialement célèbre comme compositeur. En 1981, Theodorakis est de nouveau élu au Parlement grec comme député. Il abandonne son mandat en 1986 pour se consacrer à son œuvre musicale. En 1987, son premier opéra, Kostas Karyotakis est créé à Athènes, en 1988, son ballet Zorba remporte un triomphe dans les Arènes de Vérone. L'œuvre y sera reprise en 1990. Elle est créée également à Varsovie, à ?ód?, à Belgrade, à Budapest. À ce jour, plus de 600 représentations ont été données dans le monde entier.
En 1989, Theodorakis appelle de ses vœux une coalition entre le parti de droite en Grèce, Nea Dimokratia, et le parti communiste pour en finir avec les scandales du gouvernement d'Andreas Papandreou et du PASOK.
Après les élections d'avril 1990, Mikis entre dans le gouvernement de Constantinos Mitsotakis comme ministre d'État sans portefeuille. Il s'engage tout particulièrement contre les drogues et pour la cause de l'enseignement, de la culture, et, ensemble avec le musicien et chanteur turc Zülfü Livaneli, pour une réconciliation entre les Grecs et les Turcs. Il quitte le gouvernement en avril 1992 et assume ensuite pour deux ans la direction générale des chœurs et des orchestres symphoniques de la Radio-Télévision Hellénique. Il a ensuite abandonné la vie publique, tout en continuant à donner des concerts et à diriger ses œuvres. La mort de son frère Yiannis, 1996, et de sérieux problèmes respiratoires, 1997, ont conduit Theodorakis à abandonner pendant plus d'un an toutes ses activités et à léguer les documents de sa vie à la Librairie Lilian Voudouri au Mégaron d'Athènes.
Le 14 mars 1996, Mikis Théodorakis est élevé au grade d'officier dans l’Ordre de la Légion d’honneur, décoration qui lui est remise par l'ambassadeur de France à Athènes, au cours d'une cérémonie à l'ambassade.
Le 5 octobre 1991 son opéra Medea est créé à Bilbao. En 1992 il écrit, sur demande de Juan Antonio Samaranch, le Canto Olympico pour les Jeux Olympiques de Barcelone. Son opéra Electra, d'après Euripide, est accueilli triomphalement à Luxembourg par le public de la « Ville Européenne de la Culture 1995 », le 2 mai 1995, dans une réalisation du Teatr Wielki, Pozna? (Pologne). Son opéra Antigone, est créé le 7 octobre 1999 à Athènes. Ses dernières partitions symphoniques sont une Rhapsodie pour guitare et orchestre (1995) et une autre Rhapsodie pour violoncelle et orchestre (1996). En 2001, Theodorakis achève la composition d'un opéra comique sur le thème de Lysistrata, d'après Aristophane, créé le 14 avril 2002 à Athènes. Sa dernière partition à ce jour est la musique de scène pour Médée (dédiée à Guy Wagner) à Epidaure.

Actuellement, Theodorakis, retiré chez lui, travaille à la compilation de ses musiques et de ses écrits en faisant du populisme. Cela ne l'empêche pas de prendre position sur les événements de l'actualité, comme l'arrestation et le traitement d'Öcalan, les bombardements de Belgrade et de la Serbie(Conflit du Kosovo,(1999), la politique de Sharon contre le peuple palestinien (2002), contre George W. Bush, son gouvernement et son administration et leur Guerre d'Irak (2003).
Theodorakis est doctor honoris causa des Universités de Montréal, de Salonique, de Crète. À l'occasion de ses 80 ans, il s'est vu décerner, le 31 juillet 2005, le prix international Saint-André, institué par la fondation du même nom, pour « son héroïsme et son engagement créateur au service de la Patrie, mais aussi ses excellentes œuvres musicales qui chantent la paix entre les peuples, renforcent l'esprit et la conscience nationale de l'homme. » Il est également lauréat du Prix musical international CIM UNESCO 2005 qui lui a été remis le 4 novembre 2005 à Aix-la-Chapelle.
Mikis Théodorakis a été élevé en 2007 au grade de commandeur dans l’Ordre de la Légion d’honneur. Il en a reçu les insignes des mains du ministre français de la Culture, Renaud Donnedieu de Vabres, le 26 mars 2007 à Athènes au cours d'une cérémonie à l'ambassade de France en Grèce.
Revenir en haut Aller en bas
Jean
Sage du forum
Sage du forum
Jean


Nombre de messages : 12123
Age : 81
Localisation : Hte Savoie
Date d'inscription : 10/04/2007

Mikis Thedorakis (1925 -     ) Empty
MessageSujet: Re: Mikis Thedorakis (1925 - )   Mikis Thedorakis (1925 -     ) Icon_minitimeDim 1 Aoû - 16:48

Œuvre musicale
Lieder, chansons, cycles de chansons
Theodorakis a composé plus de mille mélodies, dont un certain nombre de cycles, parfois pour des chanteurs spécifiques comme Arda Mandikian. Reposant sur des poèmes de plus grands auteurs helléniques, ainsi que sur des textes de Lorca et de Neruda, ils appartiennent maintenant au patrimoine culturel, non seulement de la Grèce, mais du monde : « Epitaphios », « Archipelagos », « Politia », « Epiphania », « L'Otage », « Mykres Kyklades », « Mauthausen », « Romiossini », « Le Soleil et le Temps », « Chansons pour Andreas », « Mythologie », « Nuit de Mort », « Ta Lyrika », « Les Quartiers du Monde », « Dionysos », « Phaedra », « Mia Thalassa », « Poetica » (Lyricotera, Lyricotata), « Erimia », « Odysseia »…

Musique symphonique
1952 : Concerto pour piano « Hélicon »
1953 : Symphonie No.1 (« Proti Simfonia »)
1958 : Concerto pour piano
1981 : Symphonie No. 2 (`Le Chant de la Terre"; Texte: Mikis Theodorakis) chœur d'enfants, piano concertant et orchestre)
1981 : Symphonie No. 3 (Textes: D. Solomos; K. Kavafis; Hymnes byzantins) pour soprano, chœur et orchestre
1983 : Symphonie No. 7 (« du Printemps »; Textes : Yánnis Rítsos ; Yorgos Kouloukis) pour 4 solistes, chœur et orchestre
1986-1987 : Symphonie No. 4 (« Des Chœurs ») pour soprano, mezzo, récitant, chœur et orchestre symphonique sans cordes).
1996 : Rhapsodie pour guitare et orchestre
1997 : Rhapsodie pour violoncelle et orchestre
2008 : Rhapsodie pour trompette et orchestre

Musique de chambre
1942 : Sonatine pour piano
1945 : Elegie no 1, pour violoncelle et piano
1945 : Elegie no 2, pour violon et piano
1946 : To Kimitiro (Le Cimetiere) pour quatuor à cordes
1946 : Quatuor à Cordes no 1
1946 : Duetto, pour 2 violons
1947 : Trio, pour violon, violoncelle et piano
1947 : Onze Préludes, pour piano
1947 : Sextuor, pour piano, flûte et quatuor à cordes
1949 : Étude, pour deux violon et violoncelle. AST 58
1952 : Syrtos Chaniotikos, pour piano et percussion
1952 : Sonatine no 1, pour violon et piano
1955 : Petite Suite, pour piano. AST 90
1955 : Passacaglia, pour deux pianos. AST 96
1955 : Sonatine, pour piano
1958 : Sonatine n °2, pour violon et piano
1989 : Choros Asikikos (Danses Galantes), pour violoncelle seul
2007 : East of the Aegean / A l'Est de l'Egée, cycle pour piano et violoncelle

Cantates et Oratorios
1960 : Axion Esti (Texte : Odysséas Elýtis)
1967 : Epiphania Averoff (Texte: Giorgos Séféris)
1969 : La Marche de l'Esprit (Texte: Angelos Sikelianos); « État de Siège » (Texte: Rena Hadjidakis)
1971-1982 : Canto General (Texte: Pablo Neruda)
1981-1982 : Kata Saddukaion Pathi (Passion des Sadducéens; Texte: Michalis Katsaros) pour ténor, baryton, basse, chœur et orchestre
1982 : Liturgie No. 2 pour chœur a cappella (« Aux Enfants tués dans les guerres », Textes: Tassos Livaditis, Mikis Theodorakis) ;
1982-1983 : Lorca, pour voix, guitare solo, chœur et orchestre; (sur la base du « Romancero Gitan »)
1992 : Canto Olympico, pour piano solo, chœur et orchestre

Hymnes
1970 : Hymne pour Nasser
1973 : Hymne pour le Mouvement socialiste du Venezuela
1973 : Hymne pour les Étudiants. Dédié à l’École Polytechnique d'Athènes
1977 : Hymne du Parti Socialiste Français
1978 : Hymne pour Malte
1982 : Hymne de l'OLP
1991 : Hymne des Compétitions Méditerranéennes 1991
1992 : Hellénisme - Hymne grec pour l’ouverture des JO de Barcelone

Ballets
1953 : Carnaval grec (chorégraphie: Rallou Manou)
1958 : Le Feu aux poudres (chor.: Paul Goubé, avec Ludmila Tcherina)
1958 : Les Amants de Téruel (chor.: Milko Sparembleck)
1959 : Antigone (chor.: John Cranko)
1972 : Antigone en prison (chor.: Micha van Hoecke)
1979 : Elektra (chor.: Serge Kenten)
1983 : Sept Danses grecques (chor.: Maurice Béjart)
1987-1988 : Zorba le Grec (chor.: Lorca Massine).

Opéras
1984-1985 : Kostas Karyotakis
1988-1990 : Medea
1992-1993 : Electra
1995-1997 : Antigone
1999-2001 : Lysistrata

Musique pour la scène
Tragédies classiques
1959–1960 : Phinisses (Euripide)
1960–1961 : Ajax (Sophocle)
1977 : Iketides (Les Suppliantes) (Euripide)
1979 : Ippies (Aristophane)
1986-1988 : Orestie : Agamemnon - Choéphores - Euménides (Eschyle)
1987 : Hekabe (Euripide)
1990 : Antigone (Sophocle)
1992 : Promithefs Desmotis (Prométhée echaîné) (Eschyle)
1996 : Oidipus Tyrannos (Œdipe le Tyran)(Sophocle)
2001 : Médée (Euripide)

Théâtre moderne grec
1960-1961 / 1992 : To Tragoudi Tou Nekrou Adelfou (Ballade du Frère Mort), tragédie musicale (Texte: Mikis Theodorakis).
1961-1962 : Omorphi Poli (Belle Cité), revue musicale (Bost, Christodoulou, Christofelis e.a.)
1963 : I Gitonia ton Angelon (Le Quartier des Anges), comédie musicale (Iacovos Kabanellis)
1963 : Magiki Poli (Cité enchantée), revue musicale (Theodorakis, Pergialis, Katsaros)
1971 : Antigoni stin Filaki (Antigone en Prison), drame (Yánnis Rítsos)
1974 : Prodomenos Laos (Peuple trahi), Musique pour le théâtre (Vangelis Goufas)
1975 : Echtros Laos (Peuple ennemi), drame (Iakovos Kabanellis)
1975 : Christophorus Kolumbus, drame (Níkos Kazantzákis)
1976 : Kapodistrias, drame (Níkos Kazantzákis)
1977 : O Allos Alexandros (L'autre Alexandre), drame (Margarita Limberaki)
1979 : Papflessas, théâtre (Spiros Melas)

Théâtre International
1961 : Enas Omiros (L'Otage), drame (Brendan Behan)
1963 : Siniko tichos (Le Mur de Chine), drame (Max Frisch)
1975 : Das Sauspiel, Tragicomédie (Martin Walser)
1978 : Polites B' Katigorias (Citoyens de 2e classe), drame (Brian Friel)
1979 : Caligula, drame (Albert Camus)
1980 : Periclès, tragédie (William Shakespeare)
1994 : Macbeth, tragédie (William Shakespeare).

Principales musiques de films
1957 : Intelligence Service (Ill Met by Moonlight) de Michael Powell et Emeric Pressburger
1959 : Lune de miel (Luna de miel) de Michael Powell
1960 : Faces in the Dark de David Eady
1961 : Le Spectre du chat ( Shadow of the Cat) de John Gilling
1962 : Les Amants de Téruel de Raymond Rouleau
1962 : Electre de Michael Cacoyannis
1962 : Phaedra de Jules Dassin
1962 : le Couteau dans la plaie d'Anatole Litvak
1964 : Zorba le Grec (Zorba the Greek) de Michael Cacoyannis
1967 : Le Jour où les poissons sont sortis de l'eau (The Day the Fish came out) de Michael Cacoyannis
1969 : Z Costa-Gavras
1971 : Les Troyennes (The Trojan Women) de Michael Cacoyannis
1972 : État de siège de Costa-Gavras
1973 : Serpico de Sidney Lumet
1974 : La Répétition (The Rehearsal) de Jules Dassin
1977 : Iphigénie de Michael Cacoyannis
1980 : L'Homme à l'œillet (O anthropos me to garyfallo) de Nikos Tzimas[36]
Revenir en haut Aller en bas
Jean
Sage du forum
Sage du forum
Jean


Nombre de messages : 12123
Age : 81
Localisation : Hte Savoie
Date d'inscription : 10/04/2007

Mikis Thedorakis (1925 -     ) Empty
MessageSujet: Re: Mikis Thedorakis (1925 - )   Mikis Thedorakis (1925 -     ) Icon_minitimeDim 1 Aoû - 16:54

de toute sa grande production.., apart certaine musqiue de film comme "Zorba le Grec" je ne connais, découverte récemment , que sa 2em symphonie , assez "apre", mais formidablement stimulante!

Revenir en haut Aller en bas
Jean-Michel
Administrateur
Administrateur
Jean-Michel


Nombre de messages : 6418
Age : 65
Localisation : En Alsace
Date d'inscription : 04/04/2008

Mikis Thedorakis (1925 -     ) Empty
MessageSujet: Re: Mikis Thedorakis (1925 - )   Mikis Thedorakis (1925 -     ) Icon_minitimeDim 1 Aoû - 23:23

Sauf sa musique de films que j'ai vus, je ne connais pas...
Revenir en haut Aller en bas
Jean
Sage du forum
Sage du forum
Jean


Nombre de messages : 12123
Age : 81
Localisation : Hte Savoie
Date d'inscription : 10/04/2007

Mikis Thedorakis (1925 -     ) Empty
MessageSujet: Re: Mikis Thedorakis (1925 - )   Mikis Thedorakis (1925 -     ) Icon_minitimeDim 1 Aoû - 23:38

dommage Mr Green ! ..j'aurais bien voulu avoir ton avis
Revenir en haut Aller en bas
Jean-Michel
Administrateur
Administrateur
Jean-Michel


Nombre de messages : 6418
Age : 65
Localisation : En Alsace
Date d'inscription : 04/04/2008

Mikis Thedorakis (1925 -     ) Empty
MessageSujet: Re: Mikis Thedorakis (1925 - )   Mikis Thedorakis (1925 -     ) Icon_minitimeLun 2 Aoû - 0:30

Je peux voir cette semaine si ma médiathèque a quelque chose à proposer que je puisse écouter !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Mikis Thedorakis (1925 -     ) Empty
MessageSujet: Re: Mikis Thedorakis (1925 - )   Mikis Thedorakis (1925 -     ) Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Mikis Thedorakis (1925 - )
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Universalis :: Musique contemporaine-
Sauter vers: