Philipp Friedrich Silcher

Fils du maître d’école Karl Johann Silcher, il devint enseignant auxiliaire en 1806 Schorndorf où il fut aussi précepteur du baron de Berlichingen. Il obtint ensuite un poste à l’école de filles de Ludwigsburg où il rencontra Carl Maria von Weber et Konradin Kreutzer qui l’encouragèrent à se consacrer à la musique, ce qui lui permit de devenir professeur de musique à Stuttgart puis directeur de musique à l’université de Tubingue. C’est lui qui donna ses lettres de noblesse à la musique chorale ; il arrangea de nombreuses mélodies populaires.
Sa maison natale

Mit der Stimme Zauberklang (L’Enchantement par la voix) : 36 mélodies : Klaus Melber au piano, chanté par Corenlius Hauptmann
Des lieder dans le versant distancé et populaire où Schubert est personnel et lyrique. Cela ne remet en rien Schubert en cause, mais le place dans une perspective plus universelle à mon sens, parce qu’elle a été en partie polie par l’usage. Silcher rétablit un équilibre à ce que Schubert exige de participation...

je ne connais pas du tout!
les enregistrements disponibles ne sont que des lieder et pièces pour piano semble t'il!

J’ai aussi les
Œuvres pour chœur et musique de chambre
Robert Dohn, flûte - Susan Wenckus, piano – Südfunk-Chor et Radio-Sinfonieorchester Stuttgart, dir. Rupert Huber (Carus 1990)
Le romantisme sans le lyrisme : on vous oublie !