Philippe Jaroussky

Sur Amazon

(J'ai corrigé l'orthographe du nom de Jaroussky : on trouve alors tous les résultats. Jean-Michel)

Amazone n'est pas très généreux de ne proposer que trois disques de Jarrousky! ...

C'est ce que je me suis dit.

...Amazone à beaucoup de chose en classique...mais quelques fois pas facilement "trouvables"!!...je me souviens de plusieurs recherches infructueuses de disques récents..qui ne sortaient pas...; je les ai trouvé avec le code barre!!!...(que j'avais recopié à la Fnac!!!)

Carestini, accompagné par Emmanuelle Haïm (Virgin 2007). Comme toujours, j’aime la voix de Philippe Jaroussky. C’est un charmeur, j’accepte volontiers d’être charmé en musique. Je me prends pourtant à rêver : s’il interprétait quelque chose en y mettant tout soi-même...

Philippe Jaroussky a une formation initiale de violoniste et obtient un premier prix au CNR de Versailles. Il s'intéresse ensuite au piano, pensant trouver dans son étude les moyens d'analyser la composition et la ligne musicale plus en profondeur.
À l'âge de 18 ans, il assiste à un concert de musique baroque dans une église de paris, où chante le contre-ténor Fabrice di Falco. Troublé par cette voix, il décide de rencontrer son professeur de chant, Nicole Fallien, avec qui il travaille toujours à ce jour. Philippe Jaroussky explique le choix qui a été le sien concernant le développement de sa tessiture de tête : son aisance et son plaisir d'interprétation dans ce registre. Sa carrière commence tôt, en 1999. Lors d'un stage de chant à Royaumont en septembre, il est choisi par le contre-ténor Gérard Lesne pour incarner Ismaele, le fils de Sedecia (joué par Gérard Lesne) dans l'oratorio « Sedecia, Re di Gerusaleme » d'Alessandro Scarlatti.

On a lu de tout sur ce Vivaldi. Et j’aime la voix de Marie-Nicole Lemieux tout comme ici.

J'aime la voix de Philippe Jaroussky. J'ai emprunté Opium et je n'ai pas aimé. Je m'ennuie tellement que je ne suis pas allé jusqu'à la fin. Voici ce qu'en dit judicieusement Christophe Huss.

j'ai eu aussi l'occasion d'entendre des extraits (à la radio)...et je suis bien d'accord avec toi et la conclusion de Huss!!

La Dolce Fiamma, airs de Johann Christian Bach – Le Cercle de l’Harmonie dir. Jérémie Rhorer (Virgin 2009)
Là, Philippe Jaroussky sonne parfaitement. Programme pétillant dit-il, c’est en effet cela. Je me souviens toujours de son Ferrari, magnifique parce qu’il me semble aller au-delà du brillant.

je partage ton enthousiasme!;;et JC Bach est à découvrir de plus en plus!