Quatuors n °1 et 2, et celui de Ludomir Rozycki, Royal String quartet (Hyperion 2009)
Encore un aspect de Szymanowski dont j’aime de plus en plus le style à l’écart du romantisme : il ne privilégie pas la confidence mais une sorte de rectitude.
Illustration : Un conte de Karol Homolacs (1874-1962)