Bernarda Fink

Née en Argentine de parents slovènes, elle étudie à l’Instituto Superior de Arte del Teatro Colón de Buenos Aires. Elle remporte le Premier Prix du concours Nuevas Voces Líricas en 1985 et se fixe alors en Europe. Elle connaît bien la musique tchèque par ses origines slovènes, sa maîtrise de la langue et sa collaboration avec la Philharmonie Tchèque.



Discographie sommaire (Source)
Kittel, Caspar: Arien und Kantaten
Händel, Georg Friedrich: Rinaldo
Bach, Johann Sebastian: St. Matthew Passion
Gluck, Christoph Willibald: Orfeo & Euridice
Mozart Edition: Introduktion CD
Mozart, Wolfgang Amadeus: Symphony "Prague"
Schumann, Robert: Lieder
Dvorák, Antonín: Lieder
Wolfgang Amadeus Mozart, Requiem in D Minor, K.626 (Unfinished): Completed by Franz Xaver Süssmayr
Haydn, Joseph: Symphonies no. 91 & 92 "Oxford"
Verdi, Giuseppe: Messa da Requiem
Mozart, Wolfgang Amadeus: Mozart 2006
Bernarda Fink: Canciones Argentinas
Mozart, Wolfgang Amadeus: La Clemenza di Tito
Brahms, Johannes: Lieder
Bach, Johann Sebastian: Matthäus-Passion BWV 244
Berlioz, Hector: Nuits d'été, op. 7
Schubert, Franz: Lieder
Bach, Johann Sebastian: Geistliche Kantaten für Solosopran BWV 35, 169 & 170
Mozart, Wolfgang Amadeus: Idomeneo

Cantates de Bach BWV 35, 169, 170, Petra Müllejans (HM 2009)
Ce sont des cantates de Bach, mais surtout le chant de Bernarda Fink dans une qualité d’enregistrement confondante. Tout y est parfaitement naturel : équilibre du chant et de l’orchestre. J’en viens presque à regretter que la sinfonia qui ouvre la cantate 169 et le disque soit si longue. J’aurais préféré qu’on commence par la 170.

très beau disque en effet! et ces cantates sont parmi les toutes grandes ...JS semblait particulièrement inspiré par les voix d'alto
(arias des deux passions, oratorio de Noël...et d'autres airs de cantates sublimes pour cette voix!)

Il pianto di Maria : Vivaldi, Ferrandini, Marini, Monteverdi, Conti, Pisendel, accompagnée par Giovanni Antonini et son Giardino Armonico.
Je ne commenterai pas la voix de Bernarda Fink, elle parle d'elle-même. Je préfère son Bach, son Brahms : je trouve qu'ici la voix n'est pas toujours dans son meilleur emploi, c'est-à-dire les inflexions délicates. On perd ces qualités dans des passages où le texte est plus véhément.
C'est aussi une belle qualité d'enregistrement, signé Nicolas Bartholomée.

Lieder aus « Mythen, op. 25 - Gedichte der Königin Maria Stuart op. 135 – Lieder nach Gedichte von Friedrich Rückert - Liederkreis op. 39 – Anthnoy Spiri au piano (HM 2009)
Voici une nouvelle fois la voix de Bernarda Fink dans Schumann.