Tchaikovsky : symphonies

en effet!!!...Klemperer battu sur son propre terrain!

Bohm a enregistré du Tchaikovsky dans ses derniéres années
vous connaissez?
Jamais entendu

Je preferre pas essayer car si ca ressemble à ses symphonies de Mozart heum...

moi non plus.....je ne sais pas pourquoi..mais je le sentirais mal à l'aise là dedans

non plus je ne connais pas Böhm dans Tchaikowski

nos oreilles nous en sont reconnaissantes je crois !

pourquoi?
ce sont suremnt des bijoux

un peu trop scleroser j'ai peur

ça tu n'en sais rien
je viens d'écouter son 3é concerto de Beethoven avec pollini....
brillant!!!

heum disont que j'ai peut-etre chopper des extraits entre temps de dessous le manteau lol

lol......j'adore ce chef

Diapason d'or pour le DVD des trois dernières symphonies par Karajan et son BP,
Herni G. Clouzot n'est plus derrière la camera, mais Karajan avec l'aide d'Ersnt Wild, applique ses principes. Première leçon: Karajan est un "string conductor". La focale ne le montre qu'à hauteur du quatuor et ce n'est pas la conséquence de sa taille modeste.Il s'entoure des cordes, il les sculpte et il en émerge. D'où le légato. Tout ici se lie. Comme dans le Berlin d'avant guerre, l'âme de l'orchestre se sont les cordes, sa base dynamique les contrebasses. Les cuivres viendront en plan frontaux, comme les mânes d'un autre monde, imposer un son très clair, aveuglant, qui indique, alors même que le "Karajan sound" est parvenu en ces années 1970, à son rayonnement suprème, que le diapason l'a aider en montant beaucoup. D'où les structures toujours lumineuses qui suffisent à exclure tout pathos de ce triptyque.
A ce titre la Pathétique, comme projetée vers une catastrophe annoncée, est un modèle de relecture.
Paradoxe: si les cordes sont redevables de Furt.., c'est Toscanini que le geste impérieux, hâtif, Inexorable dans sa pulsion rythmique primordiale, désigne comme vrai mentor. Plus que dans Beethoven -ou les Brahms de la même période et de la même eau, dont DG annonce le retour prochain- on entend cette urgence, cette nécessaire fulgurance du chant. Nombre d'éxégètes mieux autorisés ont proposé un Tchaikowski autrement philologique, évocateur même, mais aucun, sinon Mravinski, sans doute plus réducteur, ne possède cette qualité de pur brasier. Une interrogation demeure: comment, avec ses yeux toujours clos, Karajan peut il communiquer avec son orchestre aussi intensément? La fréquentation quotidienne ne suffit pas à expliquer cette concordance mystérieuse qui n'est pas de l'ordre du réflexe, mais plutôt le signe patent de la magie d'un art vérifié par l'image.
Jean-Charles Hoffelé.

ah merci Jean ! il y a d'autre critiques de karajan dans ce numero ?

Et choc du Monde la musique du mois dernier!

"Tchaikovki est le seul véritable romantique russe: d'une sensibilité exacerbée, il est aussi d'une sincérité sans réserve. Son univers est humain, mondain et psychologique. Ses trois dernières symphonies sont consacrées au thème du destin, développé en un programme sous-jacent. Dans la 4me(1877) il crée un mouvement en forme sonate original. Après le "requiem pour l'esprit" qu'est la 5eme (1888) la 6eme pathétique (1893) représente l'acceptation de l'inéluctable.
Karajan a enregistré de nombreuses fois les dernières symphonies de Tchai (le jeu des comparaison est d'ailleurs époustouflant ). Réalisées en public à la philarmonie de Berlin, les présentes interprétations, filmées avec grands soins, plongent dans un univers riche et complexe. Karajan privilégie l'intégration du rythme dans des structures maitrisées, ce qui n'empêche ni le ton personnel, ni certaines aspérités, ni la pklus extrème tension. Drirgeant un orchestre d'une électrisante virtuosité, il consilie beauté sensuelle et brutalité raffinée et demeure le seul, avec Mravinski - dans une perspective bien différente - à donner une unité organique au triptyque. Les 4eme et 5eme symphonies sont inhabituellement intenses. Dans la Pathétique, le chef réalise, peut être mieux que dans ses autres versions, une remarquable synthèse des styles de Furtwängler et Toscanini."
Patrick Szersnovicz

Bertrand a écrit:

ah merci Jean ! il y a d'autre critiques de karajan dans ce numero ?

Sauf erreur je n'en trouve pas d'autreS de kARAJAN;

je t'envie de pouvoir lire le numero spec de classica, doit y avoir une liste de ses meilleurs cds ?

JE peux te l'envoyer dès que je l'ai lu!?...car après je n'y reviens guère!...et apres je les jette!!

oui il y a deux page sur ses cd et dvd avec de brefs commentaires

ah tu en retenus quoi ? les meilleurs des meilleurs seraient lesquels ?

Franchement c'est assez mal présenté les cd et sans vrai commentaires..en fait c'est la liste de ce qu'ils ont estimés le meilleur ..sans donner d'échelle de priorité.

ah mince, j'aurai bien aimer savoir les musts

oh ben ils citent quan même les integrales Beethoven de 77 de Brahms 78..les trois de Tchaikovski, des Strauss: Don Quichotte, Zarathoustra, Mort et transfiguration , Vie de Héros, toute les Sibelius( sauf la 3...pourquoi? je ne sais si il ne l'a pas enregistrée ou s'il la trouve moins bonne!)
Il cite un coffret de 9 cd Decca avec Vienne de 1959 à 1964 avec des Haydn et Moozart inégalables...

oui je vois bien le genre, c'est les marroniers ca et rien sur ses mahler ?

Ah si ils rajoutent le deux version de la 10 de Shosta et Mahler en présiasnat "surtout les deux N° 9 chez DG

ok moi je me tate pour sa 5ème de Mahler car là 9 c'est pas trouvable hormis sur le net, à voir un de ces quatres.

quand tu veux!....