Les héros de votre enfance

Alors vous etiez plutot Goldorak ? Pif et Hercules ? Tintin ? Nounours ? Parlons un peu de l'enfant que vous etiez et du heros qui faisait briller vos petits yeux.

Hou làlà....va falloir creuser pronfond!!

moi j'en ai plein ! j'etais un fou du club dorothée et des series qui allaient avec

Quand j'y repense, Dieu qu'ils etaient moches quand meme ! Ils auraient du me faire peur etant gosse lol

pas tant que çà!! mais je reconnais que Dorothée!

Moi c'était plutot...Fripounet et Marisette! tu connais?

c'est eux ? c'etait une BD ?

tout à fait ..c'etait en fait un journal..;avec avec leurs aventures en BD, avec d'autres !

ah je vois sur le modele de Pilote

je crois que Pilote est venu plus tard

oui ca date de l'epoque de Goscinny je crois

oui..j'avais passé à autre chose ..encore que Astérix j'ai assez vite mordu!

Pilote (Mâtin, quel journal !) est un magazine français hebdomadaire de bande dessinée créé le 29 octobre 1959 et qui parut pour la dernière fois en mensuel en octobre 1989.

Outre la bande dessinée, Pilote publiait également des nouvelles, romans, reportages et blagues en tous genres.

Il a fortement influencé le monde de l'édition de la bande dessinée en Europe, aux Etats Unis et au Japon.

Depuis l'été 2003, de nouveaux numéros ont été publiés dans une périodicité « irrégulomadaire », ne paraissant que « quand les pages sont prêtes ». Son slogan devient alors « Pilote, le journal qui s'amuse à revenir ». En Avril 2008, un nouveau numéro dans lequel "60 auteurs réinventent mai 68" sort en kiosque, avec comme slogan Pilote, le journal qui s'amuse à lancer un pavé.

À sa création, le directeur de la publication était Jean Hébrard, le rédacteur en chef François Clauteaux, remplacé par Raymond Joly après six numéros, et René Goscinny alors secrétaire de rédaction. La périodicité au départ était hebdomadaire.


Chronologie éditoriale

1960 : Georges Dargaud rachète le journal un peu mal en point (pour le franc symbolique). Le rédacteur en chef est Denis Lefèvre-Toussaint.
1962 : Nouveau rédacteur en chef, Marcel Bisraux.
Fin 1963, Pilote va mal, René Goscinny et Jean-Michel Charlier sont nommés rédacteur en chef et chargés de relancer le journal.
1974 : René Goscinny lâche les rênes, Guy Vidal devient rédacteur en chef. En juin, Pilote devient mensuel.
1986 : Fin de Pilote mensuel, fusion avec Charlie Mensuel, le journal prend donc le nom Pilote & Charlie.
1988 : Reprise du nom de Pilote.
octobre 1989 : Fin de parution de Pilote.
19 juin 2003 : parution d'un numéro spécial.
septembre 2004 : parution d'un numéro « spécial Noël 2004 ».
Avril 2008 : parution d'un numéro « spécial Mai 1968 ».


Séries célèbres

De nombreuses séries de bande dessinée franco-belge devenues célèbres ont commencé leur carrière dans Pilote. On peut citer par ordre chronologique de première apparition :

1959 :
Astérix le Gaulois (de René Goscinny et Albert Uderzo)
Tanguy et Laverdure (de Jean-Michel Charlier et Albert Uderzo)
Le démon des Caraïbes, futur Barbe-Rouge (de Jean-Michel Charlier et Victor Hubinon)
Bob Morane (de Henri Vernes), d'abord en roman, puis en BD à partir de 1965 avec Gérald Forton, puis William Vance à partir de 1968.
1962 :
Valentin le vagabond dessiné par Tabary avec la participation de Fred et de Goscinny.
1963 :
Achille Talon (de Greg)
le Grand Duduche (de Cabu)
Fort Navajo (ancêtre de Lieutenant Blueberry, de Gir, alias Jean Giraud et Jean-Michel Charlier)
Norbert et Kari par Christian Godard
1965 :
Philémon (de Fred)
Les Dingodossiers (de René Goscinny et Marcel Gotlib)
1966 :
Lieutenant Blueberry
1967 :
Lucky Luke (de René Goscinny et Morris) qui était publié auparavant dans Spirou
Valérian (de Jean-Claude Mézières et Pierre Christin)
1968 :
Iznogoud, à l'époque : Calife Haroun El Poussah (de René Goscinny et Tabary)
Rubrique à brac (de Marcel Gotlib)
1969 :
Cellulite (de Claire Bretécher)
1970 :
Lone Sloane (de Philippe Druillet)
1971 :
Le Concombre Masqué (de Mandryka)
1972 :
Brindavoine (de Jacques Tardi)
1973 :
Le Génie des alpages (de F'murr)
1975 :
Léonard (de Turk et De Groot)
1978 :
Les Phalanges de l'Ordre noir (de Pierre Christin et Enki Bilal qui collaborait à Pilote depuis 1972)
Le Vagabond des Limbes (de Julio Ribera et Christian Godard)

ben voilà! et toi tu avais des BD favorites?

Euh oui Pif le chien ainsi que Placide et Muzo.



j'aimais bien aussi les picsou magazine, asterix et tintin.

Moi j'ai eu dans ma petite enfance le Journal de Mickey dès le n° 1 en 1952, j'avais donc 6 ans ! Parallèlement, j'aimais bien les Tom et Jerry, les Bunny et autres Pieds Nickelés, Bibi Fricotin.

Mais mon héros de BD a toujours (et encore) été Tintin ! Même si j'aime bien également les Astérix.

Pilote, j'ai ache té tous les premiers numéros, mais je le trouvais un peu moins passionnant car on y parlait beaucoup de sports et j'en ai toujours eu horreur.

Quand j'avais dix à douze ans mon héros "en chair et en os" éttait Davy Crockett, grâce au film de Walt Disney d'abord, et ensuite avec Alamo (John Wayne). J'admirais aussi Napoleon...

Bonjour ! Mes héros se limitaient à mon nounours et à mes " petites autos ". J'emportais d'ailleurs à peu près toute ma collection de voitures quand je partais quelques jours chez ma grand-mère, dans une petite valise qui est toujours là. Et les voitures en question elles aussi, je les ai toujours. Je créais tout un monde autour, fabriquais des panneaux, construisais des bâtiments, mais c'est toujours les voitures qui étaient les plus importantes. Dire qu'ensuite je n'ai jamais eu de voiture " réelle ", voilà presque un comble !
Plus tard, j'ai été attiré par la figure de Jeanne d'Arc, sans doute une sorte de Vierge séculaire. Un destin tragique, une victime expiatoire issue des livres d'histoire aux illustrations percutantes. Un jour j'ai souhaité qu'on m'offre un livre sur Jeanne d'Arc. Devinez ce qui est arrivé : un livre sur Jules César, beaucoup moins victime même s'il a lui aussi fini dans la violence !

Oui en effet Cesar etait moins dans le registre de l'innoncence

Bertrand a écrit:

Oui en effet Cesar etait mon dans le registre de l'innoncence

Là, il doit manquer un petit quelque chose : mon ?

Bertrand n'est pas encore sorti de sa gastro....

Ah, on lui aurait prescrit de manger des mots ? Curieuse thérapeutique !

voilà c'est reparer

et en effet je suis pas sortis de ma gastro loin de loin malheureusement

Ah, c'était simple pourtant, il suffisait d'y penser ! Cela me rappelle quand je relis ce qu'écrit mon fils Valentin qui a été dyslexique : parfois je peux corriger mais ailleurs il me faut son secours.
J'écoute Florent Schmitt dont il a été question hier (Psaume XLVII, Tragédie de Salomé, dans la récente version Hyperion par Th. Fischer). C'est exactement la musique sur laquelle je suis avide de recueillir des commentaires. Chaque passage qui sollicite mon attention est suivi d'un autre qui me chasse, c'est un chassé-croisé qui en devient presque éprouvant. Je n'étonnerai bientôt plus personne en disant que ce sont les masses orchestrales qui me posent problème...

A propos de César, j'ai un moment voulu avoir quelque chose sur Vercingétorix. Mais la littérature sur le sujet était bien pauvre, et elle n'est sans doute pas beaucoup plus étendue maintenant. J'ai cependant recueilli des anecdotes : Frédégonde qui attache je ne sais plus qui à la queue d'un cheval qu'elle envoie au galop et autres traitements de faveur. On est loin de Mickey et de ses sages aventures !

Frédégonde (née v. 545 à Montdidier, en Picardie - morte en 597), fut reine de Neustrie, après son mariage avec le roi Chilpéric Ier.

D'origine franque mais humble, elle fut d'abord probablement suivante de l'inoffensive reine Audovère, la première épouse de Chilpéric. Très vite, celui-ci remarqua la beauté de Frédégonde, et en fit sa concubine. Grégoire de Tours décrit Frédégonde comme une femme cruelle et la rend personnellement responsable de la guerre qui déchira les Mérovingiens à son époque.


Brunehaut, dont le nom exact est Brunehilde (du germanique Brunia-Khildis - Khildis, déesse de la Victoire), née en Espagne à Mérida vers 534 (selon d'autres elle serait née en 547) et morte exécutée en 613 à Renève (Côte-d'Or) est une princesse wisigothe devenue reine des Francs.

Fille d'Athanagild, roi des Wisigoths, et de Goïswinthe ou Godesvinda, elle épouse Sigebert Ier, roi franc mérovingien d'Austrasie, en 566.L'assassinat en 567 de sa sœur aînée Galswinthe, femme de Chilpéric Ier, lui-même frère de Sigebert et roi de Neustrie, va déclencher une longue guerre meurtrière entre l'Austrasie et la Neustrie au nom de la "faide royale", sorte de "vendetta" d'époque.



Chronologie de la "faide"

566: Mariage de Sigebert Ier et de Brunehaut, fille du roi Wisigoth.

567: Caribert Ier est excommunié pour polygamie. Ses biens sont distribués à ses frères, en théorie - Chilpéric Ier épouse Galswinthe, la sœur de Brunehaut - Mort de Caribert Ier, ses trois frères se partage son royaume et gouvernent conjointement Paris.

568: Chilpéric Ier fait étrangler sa femme Galswinthe sous la pression de sa concubine Frédégonde qu'il épouse.

569: Brunehaut, sœur de Galswinthe force son époux Sigebert Ier à attaquer la Neustrie.

575: Sigebert Ier bat son frère Chilpéric Ier, mais meurt assassiné à Vitry. Sa femme Brunehaut est faite prisonnière et son fils Childebert II est sauvé et est sacré roi d'Austrasie. Brunehaut est libérée.

576: Brunehaut épouse Mérovée, fils de Chilpéric Ier, qui est par la suite assassiné par son père.

577: Gontran Ier, toujours sans héritier, adopte son neveu Childebert II, roi d'Austrasie et fils de Brunehaut.

580: Frédégonde fait assassiné Audovère au Mans

581: Sous l'influence d'Egidius, évêque de Reims, Childebert II s'allie avec Chilpéric Ier au détriment de son tuteur Gontran Ier, roi d'Orléans. Le peuple austrasien se rebelle est Egidius doit fuir pour sauver sa vie.

582: Gontran Boson rencontre un fils présumé de Clotaire Ier, Gondovald, exilé à Byzance afin que ce dernier fasse valoir ses droits sur le royaume mérovingien. La tentative d'usurpation du trône échoue et Gontran Boson fait arrêter Gondovald pour détourner l'attention sur son rôle.

584: Chilpéric Ier et son fils sont assassinés. Gondovald tente de prendre le trône - Naissance de Clotaire II. Les partisans de Gondovald l'abandonnent, il se retire à Saint-Bertrand-de-Comminges où il sera assassiné - Clotaire II est proclamé roi de Neustrie. La régence est assurée par sa mère Frédégonde.

587 (28 novembre): Le traité d'Andelot scelle l'alliance entre Gontran Ier, Brunehaut, et Childebert II

contre les Leudes, révoltés.

596: Décès de Childebert II. Ses fils Théodebert II et Thierry II se partage le royaume (Bourgogne et Austrasie), Brunehaut assure la régence - Frédégonde bat Brunehaut près de Leucofao.

597: Mort de Frédégonde.

600: Théodebert II, soutenu par les Leudes, chasse Brunehaut qui se réfugie chez Thierry II.

604: Les Neustriens sont battus à Etampes par la coalition de Thierry II et de Théodebert II.

610: Théodebert II envahie l'Alsace, tenu par Thierry II. Il lui prend également la Champagne et Toul.

612: Vaincu à Toul par son frère, Théodebert II est exécuté avec son fils sur ordre de Brunehaut - Mort de Thierry II. Sigebert II, régenté par son arrière-grand-mère Brunehaut, devient roi d'Austrasie et de Bourgogne - Les Grands du royaume de Bourgogne et d'Austrasie proclament successeur de Childebert II, Clotaire II, au détriment de Sigebert II.
613: Clotaire II envahit l'Austrasie, torture est assassine Brunehaut ainsi que Sigebert II et ses frères. L'unité du royaume Franc est rétablie.