Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Jérôme Combier Ven 21 Jan - 0:34 | |
| Jérôme Combier(1971) Jérôme Combier étudie tout d’abord la composition, l’écriture, l’analyse et l’orchestration auprès d’Hacène Larbi. En 1997, il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris (classes d’Emmanuel Nunes et de Michaël Lévinas). Quelques années plus tard, il y obtient un premier prix d’analyse et de composition et écrit un mémoire de maîtrise sur Anton Webern (« Le principe de variation chez Anton Webern »). Résident à la Fondation Royaumont en 1998, il rencontre les Percussions de Strasbourg puis part au Japon pendant deux mois. Il fonde l’Ensemble Cairn en 1997 dont il est aujourd’hui le directeur artistique et travaille avec Gérard Pesson. Il étudie l’informatique musicale à l’Ircam. Durant plusieurs années, avec l’appui du Conservatoire de Paris, il établit un partenariat (composition et direction) avec les conservatoires de Tashkent et d’Almaty (Kazakhstan et Ouzbékistan). En 2002, il écrit la pièce Pays de vent, les Hébrides pour l’Orchestre National de France et reçoit le prix de la Tribune Internationale de l'Unesco. Pensionnaire à la Villa Médicis à Rome de 2004 à 2006, il rencontre Raphaël Thierry qui réalise les installations visuelles du cycle Vies silencieuses écrit pour l’Ensemble Cairn. En collaboration avec Pierre Nouvel, il réalise l’installation Noir gris pour l’exposition Beckett, organisée par le Centre Pompidou à Paris. (d'arprès l'Ircam) | |
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Jean-Michel Administrateur
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| Sujet: Re: Jérôme Combier Ven 21 Jan - 0:38 | |
| Vies Silencieuses – Ensemble Cairn, dir. Guillaume Bourgogne (Aeon 2007) Vies silencieuses est étroitement lié à la Villa Médicis pour laquelle j'ai imaginé ce projet dès 2003 et où , en définitive, je l'ai réalisé durant les années 2004-2006. Ces « vies » m'auront été soufflées avant tout par des univers picturaux d'artistes bien différents. Pourtant il m'a semblé reconnaître en chacun d'eux quelque chose qui me parlait ouvertement et qui faisait écho à mes préoccupations de compositeur. Ce que je nommerais¡: la patience, « l'usage du monde », l'apparition et l'effacement. | |
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