| Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 25 Fév - 0:15 | |
| Il est disponible cette fois. Un commentaire un peu retouché mais presque toujours bien traduit, ce qui change de l’habitude :on se demande parfois si le traducteur était ivre. Il Diamante, serenata Z 177, Ensemble Inégal, dir. Adam Viktora, Prague Baroque Soloists (Roberta Mameli soprano, Marie Fajtová soprano, Gabriela Eibenová soprano, Hana Blažíková soprano, Kai Wessel alto) [img] [/img] Il Diamante – dernière œuvre profane de Jan Dismas Zelenka Lorsque nous parlons de l’œuvre tardive de Jan Dismas Zelenka, nous pensons généralement à ses dernières messes, oratorios et litanies fascinantes qui ont recueilli désormais l’intérêt et la reconnaissance qu’elles méritent. La musique sacrée a d’ailleurs toujours représenté le principal de l’œuvre de ce compositeur et contrebassiste né en Bohême, qui après avoir été plus de vingt ans « le plus humble et le plus dévoué des serviteurs » à la cour de Dresde, finit par être nommé en 1735 Kirchen Compositeur, compositeur de l’église à la cour. Parmi ses compositions tardives, nous retrouvons cependant aussi la Serenata ZWV 177 de 1737 connue également sous le nom de Il Diamante grâce au livret découvert récemment. Il s'agit sans doute de la dernière des rares compositions vocales profanes que Zelenka aura écrites pour la cour de Dresde, qui est l'aboutissement de la ligne dramatique de son œuvre musicale. Or cette ligne prend naissance dès sa première composition produite en public : il s'agit notamment de la musique pour un spectacle scolaire, Via laureata (1704), qui n'a malheureusement pas été conservé, suivi du mélodrame Sub olea pacis créé pour des fêtes à Prague en 1732, une collection d'arias italiennes composées dix ans plus tard et trois oratorios italiens dont les deux derniers, Gesù al Calvario (1735) et I penitenti al Sepolcro del Redentore (1736), ont précédé immédiatement notre sérénade. Il Diamante est l'unique contribution connue de Zelenka au genre de la serenata. Ce genre est caractérisé en particulier par sa vocation festive, une serenata était composée pour une occasion donnée, en l'honneur de quelqu'un. Au début du dix-huitième siècle, il s'agissait généralement d'une œuvre vocale et instrumentale, avec texte italien, à mi chemin entre la cantate et l'opéra. Les serenatas foisonnaient en particulier aux cours royales et aristocratiques, lors des jubilés ou des célébrations de moments importants de la dynastie ou de la noblesse. Il en fut de même à Dresde, où ce genre s'est épanoui surtout à partir de 1719, lorsque Frédéric-Auguste II, dès avant son accession au trône, épousa Marie-Josephe, archiduchesse d'Autriche. Ce fut sans doute une influence culturelle que la jeune princesse apporta avec elle de sa cour de Vienne natale, où les serenatas faisaient partie du style impérial. Pendant toutes les années vingt du dix-huitième siècle, Zelenka composa surtout de la musique sacrée catholique et il n'avait probablement pas l'occasion d'écrire de la musique dite « italienne ». La situation changea au début des années trente. La nomination de Johann Adolf Hasse chef d'orchestre de cour, ainsi que les préférences esthétiques du couple royal qui accéda au pouvoir en tant qu'électeur et électrice de Saxe et roi et reine de Pologne après la mort en 1733 de Frédéric Auguste I (Auguste II le Fort), en furent sans doute les raisons. Si Zelenka a composé une série de huit arias italiennes, c'était sans doute pour démontrer au souverain qu'il était lui aussi capable de style dramatique. Les arias conservées jusqu'à nos jours prouvent bien que, quoiqu'il s'agisse de compositions remarquables, l'auteur qui s'est consacré à la musique d'église tout au long de sa vie a eu quelques difficultés avec certaines règles de la musique de théâtre, ou plutôt qu'il ne leur accordait aucune importance. Malgré cela, ces arias peu conventionnelles constituent un bon exemple du style original de Zelenka. En 1736, on annonce ue le prince Georg Ignaz Lubomirski épousera à Dresde en février 1737 la baronne Johanna von Stein. Ce n'était pas un évènement ordinaire : Lubormirski et son frère appartenaient à une vieille famille de la noblesse polonaise et occupaient d'importantes fonctions à la cour de Dresde, tandis que la fiancée était la belle-sœur du premier ministre de Saxe, le comte Alexander Joseph Sulkowski. Les dépens étaient entièrement supportés par la Couronne et les documents de l'époque montrent que les préparatifs avaient lieu à la cour ; or la serenata n'y est pas mentionnée. Il semblerait qu’elle ait été préparée en secret comme une surprise et elle devait être jouée pour la première fois lors du repas de noces. Cela ressemble bien au style de Marie Josèphe qui adorait ce genre de surprises et qui était prête à allez vraiment loin pour réaliser ses fantaisies. Normalement, c'est à Hasse qu'incomberait la tâche de composer une serenata, mais celui-ci venait de rentrer de Venise et il était occupé à écrire son opéra Senocrita, qui devait avoir sa première la veille du mariage. Son collègue Giovanni Alberto Ristori qui avait également composé une série de sérénades pour la cour, avait préparé, lui, le premier opéra de la saison de carnaval de 1737. Il semblerait donc que c'était le tour de Zelenka. Celui-ci a dû accepter volontiers l'occasion de comp oser à nouveau de la musique italienne, d'autant plus que ses deux oratoires tous récents avaient été bien reçus par la cour ainsi que par l'Église. Ce fut d'autre part une occasion de travailler à nouveau avec le poète de cour Stefano Benedetto Pallavicini (1672–1742), très prisé de son temps à Dresde. Le livret de la serenata correspond exactement à l'esprit du genre : personnages mythiques et allégorie pastorale . Comme le titre l'indique, le thème central est une pierre précieuse, qui est une allusion au nom de la mariée (Stein) et évoque en même temps un fait réel, car la souveraine a offert au jeune couple un bijou orné d'un joyau. La composition commence par une symphonie d'ouverture en trois mouvements, suivie de huit arias et récitatifs et se termine par un chœur final qui est repris deux fois. Selon les habitudes de l'époque, les sopranos dominent parmi les solistes avec quatre rôles différents, un cinquième étant réservé à l'alto. Le récit s'ouvre sur le personnage de la Terre qui offre à la déesse Junon une pierre précieuse. Junon veut profiter de ce don comme d'un symbole et d'un gage de mariage qui devra être célébré au bord de l'Elbe. Elle envoie Hymen, dieu du mariage, faire son travail et remettre le joyau. Hymen mentionne le marié, Georg Lubomirski, et la mariée, qui n'est pas nommée dans le texte, et qui appartient à une famille noble de Souabe. Leur union représente un lien d'amitié entre la nation slave et la nation germanique. Ensuite, Cupidon arrive sur scène en disant que c'est justement lui qui a amené le futur époux de sa Pologne natale (Sarmatie) en Saxe aux bords de l'Elbe. L'aria, accompagnée obligatoirement de cors d'harmonie, hautbois et flutes, compare le prince à un lion pris au piège de l'amour. À ce moment, Junon ordonne à Hymen de ne plus perdre de temps et de porter le diamant au jeune homme pour que celui-ci puisse en parer sa mariée. Les allusions à la pierre-mariée et à l'union des nations de Pologne et d'Allemagne sont reprises ensuite dans le récitatif d'Hymen, alors que Cupidon chante la beauté de la fiancée dans une aria. Tout tend vers la fin, la Terre réapparaît, comme au début, avec un recitativo accompagnato et demande à Junon, déesse des mariées et du mariage, d'apporter fertilité au couple. Et enfin, un chœur invite à la joie et à fêter l'heureuse union. Il semble que la composition devait se terminer ainsi. Or, chose surprenante, après le chœur, un nouveau personnage arrive sur scène : Vénus avec un récitatif et une aria qui représente en une « morale » amusante qui s'adresse directement au jeune couple : « Là où l’on fête l’amour, oublierait-on mon nom? Je suis la seule à pouvoir parfaire votre félicité, illustres époux ». Cette aria finale était sans doute chanté par la fameuse Faustina Bordoni, épouse du chef d'orchestre Hasse et l'une des plus célèbres chanteuses de l'époque baroque. Il a probablement été décidé à la dernière minute que cette cantatrice anticiperait à la représentation, en effet ceci expliquerait l'ajout d'une scène supplémentaire à une composition achevée. De toute manière, l'arrivée soudaine de Vénus sur scène est superbe et l'aria tendre et sensuelle à la fois fait un effet remarquable, magique même. Grace aux sources nouvelles découvertes aux archives d'État à Dresde, nous savons avec certitude que la serenata Il Diamante a été jouée comme une Tafelmusik au cours du repas de noces le 28 février et qu’on la présenta ensuite dans le journal de la cour de Dresde, sans mention de l'auteur, comme un « magnifique Concert réalisé par le chef d'orchestre Hesse et Ristori, qui a fait briller tout l'orchestre royal ainsi que des virtuoses italiens ». Le compositeur a mis pleinement à profit les riches possibilités que lui offrait le fameux orchestre et d'excellents chanteurs, la mise en musique est brillante et courageuse et en même temps difficile pour les musiciens. La variété et l'originalité des rythmes ainsi que la richesse de l'accompagnement orchestral, tout ceci porte la marque du style musical très original de Zelenka. Cette serenata s'écarte en même temps des conventions du genre (comme d'ailleurs ses sonates pour trio), et c'est l'une des raisons de pour lesquelles Zelenka fascine les auditeurs d'aujourd'hui. Zelenka qui compose à l'âge mûr une grande œuvre séculière pour la société de la cour de Dresde, Zelenka dont la composition est produite sous la direction de Hasse et interprétée par Faustina, Zelenka dont la musique est une contribution très prisée aux événements d'importance politique à la cour : ceci ne correspond pas vraiment à l'image traditionnelle de Zelenka, compositeur peu reconnu et évincé de la cour. En effet, cette image est on ne peu plus éloignée de la réalité. Selon les sources documentaires qu’on a récemment découvertes, un contemporain de Zelenka parle de lui comme d'un « excellent virtuose » dont la musique « présage les joies célestes ». Il semble donc que nous pouvons espérer une nouvelle approche, mieux documentée, du plus grand compositeur baroque originaire de Bohême. En attendant, nous pouvons nous délecter de sa musique incroyable. Et profiter du nouveau diamant découvert dans l'œuvre de Zelenka... Jóhannes Ágústsson – Václav Kapsa | |
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Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 25 Fév - 0:45 | |
| Un Zelenka à mettre sur ma liste! | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 8 Avr - 23:19 | |
| De Profundis, Miserere, Requiem, Il Fondamento dir. Paul Dombrecht (Passacaille 2000) Miserere en ut mineur , Z 57 Psaume 130 (De Profundis) en ré mineur, Z 50 Requiem en ut mineur, Z 48 Le Miserere est le même celui donné par Hengelbrock, il est ici particulièrement beau. | |
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Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 8 Avr - 23:38 | |
| Je suis aussi de ton avis! | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 8 Avr - 23:49 | |
| Tu l'as, ce disque ? Moi, je viens de le recevoir... | |
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Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Ven 9 Avr - 0:00 | |
| oui je l'ai depuis quelques temps J'ai aussi une version du miserere très belle, dans un cd Capricio avec Hermann Max (sauf erreur,?) avec d'autres oeuvres de Hasse, Heinichen et Homilius | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Ven 9 Avr - 0:10 | |
| Oui, je connais de réputation mais je ne l'ai pas (encore). | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Mer 21 Avr - 22:46 | |
| Nouveaux enregistrements Zelenka : ces jours-ci la Missa votiva Z 18 par Frieder Bernius (Carus 2010) | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Mer 21 Avr - 22:48 | |
| On annonce par ailleurs la Missa Sancti Josephi, ZWV 14, et les Litaniæ Xaverianæ, ZWV 155 Ensemble Inégal, Prague Baroque Soloists, dir. Adam Viktora (Nibiru, à venir) | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Mer 21 Avr - 22:50 | |
| La messe n'a jamais été enregistrée. Les Litanies existent seulement ici (Schola Cantorum Baroque Players. Gary Ekkel) : | |
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joachim Le Chevalier mélomane
Nombre de messages : 1197 Age : 78 Localisation : Nord (Avesnois) Date d'inscription : 01/05/2007
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 22 Avr - 11:41 | |
| Je viens de regarder mon corpus d'oeuvres de Zelenka, et à vrai dire je ne pensais pas en posséder autant : l'intégrale de la musique instrumentale (y compris sonates en trio), 4 Messes (Dei Fili, Dei Patris, Votiva, Sanctissima Trinitatis, 2 Requiem (ré mineur et ut mineur), les Responsaria pro hebdomada sancta, le Te Deum en ré majeur, le Miserere en ut mineur, l'Officium defunctorum, 2 Litanies (venerabili sacramento et salus infirmorum), le confitebor tibi Domine, le Salve Regina en la mineur, le Regina Coeli en fa majeur, le Laudate Pueri en ré majeur, ainsi que 2 Oratorios : I Penitento al sepulcro del Redentore, et Il Serpente di Bronzo.
De tout ceci (mis à part les oeuvres instrumentales), ce que je préfère, c'est la grande Missa Dei Patris. Mais dans l'ensemble, tout me plaît chez Zelenka. | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 22 Avr - 22:57 | |
| Moi aussi ! La musique orchestrale est pourtant moins dans le style qui me plaît tant chez Zelenka. | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Mer 5 Mai - 23:06 | |
| Me voici heureux détenteur d' Il Diamanteen direct de Prague. Une sérénade, une sorte d'oratorio donc (voir plus haut le résumé), fort bien enregistré, un vrai plaisir. Le site Zelenka le fait d'ailleurs figurer sur sa liste des meilleurs enregistrements. | |
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Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Mer 5 Mai - 23:35 | |
| je me réjouis de l'avoir bientôt! | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 6 Mai - 23:14 | |
| Missa Dei Patris : Virtuosi Saxoniae dir. Ludwig Güttler, chanté par Olaf Bär, Venceslava Hruba-Freiberger, René Jacobs Une Dei Patris qui est à l’égal de celle dirigée par Frieder Bernius, dans un ton assez voisin. Encore un dont il faudra que j’en dise plus ! | |
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Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 6 Mai - 23:33 | |
| Je n'ai que celle de Bernius | |
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Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Mer 12 Mai - 21:46 | |
| "Il Diamante"...n'est pas un faux!...C'et superbe et servi par de très belles voix!..Quant à l'orchestre et au chef ils sont à la hauteur de ce qu'ils nous ont déja proposé! | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Mer 12 Mai - 23:20 | |
| En effet ! Certaines vois pourraient être plus belles mais l'ensemble parfait, meiilleur que la réunion des parties. Adam Viktora doit être bien bon ! Aucune photo cette fois... | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 1 Juil - 23:50 | |
| Si on a besoin d'un petit avis en faveur de la Missa votiva par Bernius (voir plus haut) chez Carus, voici ! Je ne ferais pas du tout le même commentaire, mais je partage l'enthousiasme pour l'œuvre. | |
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Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 1 Juil - 23:56 | |
| je n'ai aussi auxcun doute sur la qualité de l'interprétation de Bernius....mais je ne ferais pas non plus le même commentaire : si Zelenka se différencie bien de Bach...je ne sens pas trop de parentée avec Mozart! | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Ven 24 Déc - 0:09 | |
| Missa Sancti Josephi, ZWV 14, et les Litaniæ Xaverianæ, ZWV 155, Ensemble Inégal, Prague Baroque Soloists, dir. Adam Viktora (Nibiru, 2010) J'ai un faible pour les Litaniæ Xaverianæ. La messe est une belle œuvre, fort bien rendue par Viktora comme à son habitude. J’ai cependant trop dans l’oreille les autres messes (Z 16 entre autres) pour trouver que celle-ci l’égale. Question de rythme musical je pense, « pas assez » dans le style du compositeur ! L'illustration est un Saint Joseph conservé à Lille. | |
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Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Ven 24 Déc - 0:43 | |
| ah tu l'a trouvée Il y en a forcément des moins passionnantes parmi toutes celles composées! | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Ven 24 Déc - 3:35 | |
| Il est disponible depuis peu, au cours des derniers quinze jours. Je parlerai du Vivaldi par les mêmes. | |
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Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 27 Jan - 0:31 | |
| la discographie de Zelenka s'étoffe doucement....et là deux chefs d'oeuvre! Un officium defunctorumnZWV47 : rien nà voir avec une messe de réquiem mais un "Office" en mémoire d'August le Fort roi de Pologne Quant au Requiem ZWV 47 , il est de grande envergure (40minutes) avec une orchestration très riches: trompettes cors, chalumeau, bassons hautbois flutes en plus des cordes habituelles...très dramatiques....et très différents des deux autres plus connus! Interprétation à la hauteur des ces chef d'oeuvre! | |
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Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) Jeu 27 Jan - 0:40 | |
| Oui, j'ai vu. Toi tu as entendu, c'est mieux ! Après la nouvelle Missa Votiva de Bernius, voilà du nouveau. Au fait, la messe de Saint-Joseph, tu as fini par la recevoir ? | |
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| Sujet: Re: Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) | |
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| Jan Dismas ZELENKA (1679-1745) | |
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