Beethoven : Missa Solemnis

Voilà ici vous pourrez librement de la Missa solemnis !

Spiritus indique la version Giulini qui aussi est une grande version..pour moi un rien en dessous de celle de Klemperer, je ne sais plus pourquoi.
En plus elle est disponible chez Brilliant couplée avec la tres belle messe en ut qui n'encombre pas les catalogue, également par Giulini et des solistes "lumineux" comme Elly Ameling

Pour moi ce sera Gardiner, Giulini et Gielen, l'un pour son authencité, l'autre pour sa tradition et le dernier pour son renouveau. A citer aussi Harnoncourt et Herreweghe.

Beethoven : Missa Solemnis 9807_coverpic

mais c'est tout baroqueux tout ça Laughing

Giulini pour moi, oui. C'est fervent, poétique et très chrétien. Klemperer est plus sérieux, plus "héroïque" encore. J'aime beaucoup également.

Nombre de messages : 162 Date d'inscription : 15/04/2007

Giulini a l'air de faire l'unanimité, je vais sûrement essayer cette version. Je suppose que c'est à l'opposé de celle de Gardiner mais ça sera justement un bon test pour moi.

Et quelle est la version dans l'intégrale Brillant à paraître en septembre (j'hésite encore à acheter ce gros coffret) ?

Ce sera surement dedans mais c'est à verifier sur le site d'abeille celà !

Nombre de messages : 162 Date d'inscription : 15/04/2007

Marcus a écrit:: Et quelle est la version dans l'intégrale Brillant à paraître en septembre (j'hésite encore à acheter ce gros coffret) ?

Je viens de voir le contenu de l'intégrale Brilliant à paraître le 13 septembre.
La version de la Missa Solemnis est celle du London Symphony Orchestra dirigé par Sir Colin Davis. Vous connaissez cet enregistrement ?

Pour le reste, les interprétations ont globalement l'air de tout premier ordre (Gulda, Brendel, Grumiaux/Haskil, Masur, quatuor Guarneri...), je crois bien que je vais craquer...

http://images.amazon.com/media/i3d/08/integrale_beethoven.htm

la version Karjan DG avec Janowitz, Ludwig,Wunderlich,Berry
deumeure un must pour moi
j'ai aussi les version Giulini, Bohm2 avec Price et Ludwig

très bien tout ca ! j'y ajoutte Gielen, Harnoncourt et Gardiner voir Zinman.

j'ai oublié d'ajouter Klemperer et Bernstein 2 avec Edda Moser

Harnoncourt.....pas mon truc ...

oui il y en as plein de tres belle version..pour moi je crois que c'est Klemperer ...avec qui je l'ai découverte...et plus recemment un disque enregistré en publique à Londres avec Horenstein avec aussi un quatuor de rève; Terésa Stich-Randall, Norma Procter (moins connue...mais une grande genre Ferrier ou Forrester) Richard Lewis et Kim Borg...seul regret.l'age mais quand meme ecoutable

que du beau monde cette version..
disponible ou Jean?
Norma procter à participer à l'intégrale Mahler de Kubelik

je l'ai commandé sur le net par amazone je pense qu'elle y est toujours: c'est une edition de la BBC...en deux cd avec complement: la symphonie inachevé de Schubert et la Faust ouverture de Wagner.

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merci bien jean....
tu l'as chez toi?

oui quand j'ai lu je ne sais plus ou que Stich-Randall l'avais enregistré...je n'ai pas hésité un seconde!!!J'ai toujours été fasciné par cette voix...même si dans cette oeuvre on ne peut pas dire que les voix solistes sont particulièrement mise en valeur!..et les autres chanteurs sont assez exceptionnels aussi tout comme le chef!

j'aime beaucoup stich randall
j'ai son coffret qui est sortit il y a peu
merveilleux
mais je ne savais pas qu'elle avais chanté cette oeuvre
à découvrir apparement
mémle si procter ne doit pas valoir Ludwig ou Baker

La Messe solennelle en ré majeur ou Missa Solemnis, opus 123, de Ludwig van Beethoven, fut composée entre 1818 et 1822, publiée en avril 1827 et dédiée à l'archiduc Rodolphe qui en fut l'instigateur. Pièce majeure du répertoire sacré en bonne place aux côtés de la Messe en si mineur de Bach et du Requiem de Mozart, elle est l'œuvre la plus longue de Beethoven et assurément celle qui lui a réclamé le plus de travail. Il s'agit de sa troisième œuvre liturgique, après Le Christ au Mont des Oliviers (1801) et la Messe en ut majeur (1807).

La Missa Solemnis était considérée par Beethoven comme « sa meilleure œuvre, son plus grand ouvrage

Les cinq années qui suivirent 1812 (l'année des Septième et Huitième symphonies) furent les plus éprouvantes de la vie de Beethoven. Tandis que sa surdité devenait totale, il dut faire face à une accumulation de soucis familiaux (décès de son frère Kaspar-Karl en 1815, série de procès contre sa belle-sœur pour obtenir la tutelle exclusive de son neveu Karl), matériels (isolement, pauvreté grandissante) mais aussi professionnels (perte progressive de la faveur du public viennois) qui se traduisirent par un ralentissement considérable de son activité créatrice. Entre 1816 et 1817 le musicien tomba gravement malade et sembla proche du suicide. Mais ses forces revinrent vers la fin de 1817, tandis qu'il commençait le travail pour la sonate « Hammerklavier ». Beethoven avait toujours été croyant sans être un pratiquant assidu, mais une des caractéristiques du musicien dans sa dernière période créatrice est de s'être tourné vers la spiritualité, comme en témoignent les nombreuses citations d'ordre religieux qu'il recopia dans ses cahiers à partir de 1817 :

« Je veux donc m'abandonner patiemment à toutes les vicissitudes et placer mon entière confiance uniquement en ton immuable bonté, ô Dieu ! Tienne, immuablement tienne doit se réjouir d'être mon âme. Sois mon rocher, ô Dieu, sois ma lumière, sois éternellement mon assurance ! » (Christian Sturm, recopié par Beethoven, 1818) [2]
L'élévation de son élève et ami l'archiduc Rodolphe au rang d'archevêque d'Olmütz, en juin 1818, fournit à Beethoven le prétexte pour concevoir une grande œuvre religieuse qu'il projetait d'abord comme une messe d'intronisation. Mais les proportions monumentales que prit la Missa Solemnis lui réclamèrent près de cinq années de travail acharné, période durant laquelle il conçut également les quatre dernières sonates pour piano. Ébauchée à l'été 1818, la messe ne fut achevée que dans les derniers mois de 1822 et ne fut remise à l'archiduc qu'en 1823. Sous le régime de Metternich qui était alors établi en Autriche, la censure interdisait la représentation d'une messe dans un concert public. La Missa Solemnis ne fut donc créée que partiellement (Kyrie, Credo et Agnus Dei) le 7 mai 1824 au cours du fameux concert qui vit également la création de la Neuvième Symphonie. Sa première exécution intégrale eut lieu le 29 juin 1830 à Warnsdorf.

source:wikipédia

mes versions: Bohm2
karajan emi et dg
giulini

j'ai aussi la version klemperer

il y a un autre sujet "Missa solemnis"..je vais essayer de les réunir.

merci jean

Moi je suis toujours sur Harnoncourt et Gardiner voir Gielen. Sinon Karajan semble bien au dvd.

Beethoven : Missa Solemnis Missa_Solemnis_Karajan

Ce dvd est tentant en effet!

vous connaissez celui ci,?

merci superbe

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