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| Max Reger | |
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Auteur | Message |
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nachtmusik
Nombre de messages : 357 Age : 47 Localisation : Budapest, Hongrie Date d'inscription : 25/01/2008
| Sujet: Max Reger Ven 25 Jan - 12:07 | |
| Salut à tous ! je suis nouveau ici et ce forum me parait, ma foi, tout à fait sympathique ! Je voulais parler de Max Reger : il y a pas mal d'années, j'ai découvert par hasard à la radio la "Böcklin suite" pour orchestre de Reger, 4 poèmes symphoniques sur des tableaux de Böcklin. Je suis tombé littéralement sous le charme de cette suite. J'ai eu un mal fou à me procurer un CD, car la pièce n'est pas connue du tout. Le CD que j'ai est la version de Neeme Järvi avec le Concertgebouw. Tout simplement sublime. Par contre, impossible de trouver d'autres versions.
Est-ce quelqu'un connait cette suite et connait aussi d'autres enregistrements. J'aimerais bien entendre ce que les autres ont fait là-dessus.
Bon, j'avoue que ca sort un peu des sentiers battus, je sens que je pose une colle, là... | |
| | | Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Max Reger Ven 25 Jan - 13:30 | |
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| | | nachtmusik
Nombre de messages : 357 Age : 47 Localisation : Budapest, Hongrie Date d'inscription : 25/01/2008
| Sujet: Re: Max Reger Ven 25 Jan - 13:42 | |
| salut Jean ! merci pour tes liens. En fait, je crois que j'avais entendu (je sais plus a quelle occasion) la version de Dresde. Hyper-lent, horrible. Le tempo de Järvi est bien meilleur. Mais je ne connaissais pas ce coffret de 7 CD, interressant ! En fait, je connais bien les pièces d'orgue, car à la base, mon premier instrument est l'orgue. J'ai donc joué du reger et à force de le jouer, on fini par l'aimer. C'est curieux ca m'avais fait la même chose avec Messiaen... Mais effectivement, je comprend que certains n'accroche pas avec Reger : C'est un peu...lourd. Il aime bien les notes Maxou ! il en met partout, c'est très chargé. Au niveau orchestration c'est pareil. Par exemple dans la première pièce de la Böcklin suite, il utilise, en plus des vents, 2 orchestres à cordes (un avec sourdines et l'autre sans). L'effet est saisissant, mais je te raconte pas le bordel | |
| | | Bertrand Administrateur et Mahlerien du forum
Nombre de messages : 14522 Age : 41 Localisation : A Strasbourg dans mon musée imaginaire Date d'inscription : 12/02/2007
| Sujet: Re: Max Reger Ven 25 Jan - 15:57 | |
| Ah voilà un sujet qui est le bienvenu ! J'ai beaucoup entendus parler de Reger mais j'y connais encore rien, je desespere pas de changer vite celà ! | |
| | | Bertrand Administrateur et Mahlerien du forum
Nombre de messages : 14522 Age : 41 Localisation : A Strasbourg dans mon musée imaginaire Date d'inscription : 12/02/2007
| Sujet: Re: Max Reger Ven 25 Jan - 16:00 | |
| Une biographie s'impose quand meme !
Johann Baptist Joseph Maximillian Reger, né le 19 Mars 1873 à Brand, au coeur des sapinières bavaroises, connait une enfance heureuse, dans la ville provinciale de Weiden, dans le Haut Palatinat, où son père enseigne à l'Ecole Normale.
Dès sa prime jeunesse, il étudie le piano avec sa mère. Son père lui enseigne le violon et l'orgue. De 1884 à 1889, l'organiste Adalbert Lindner lui donne une solide formation pianistique, basée sur la méthode de Hans von Bülow; Reger, qui est extrèmement doué, devient alors, entre sa 13ème et sa 16ème année, suppléant au poste d'organiste dans l'église catholique de la paroisse municipale. C'est lorsqu'il joue ainsi de l'orgue pour le service religieux, que son talent de créateur commence à s'épanouir. Conformément à l'éducation qu'il reçut de ses parents, la musique est pour lui un moyen d'exprimer sa propre religiosité. C'est à ce moment qu'il acquiert cette conception élevée et durable de l'art qui est, pour lui, le témoignage suprême, une attitude intellectuelle comparable à celle d'Anton Bruckner. Adalbert Lindner soumet les premiers essais de composition du jeune homme à Hugo Riemann, théoricien de la musique et pédagogue célèbre, ce qui a pour conséquence de permettre à Reger de commencer, en 1890, ses études musicales à l'Académie de Musique de Sondershausen, en Thuringe, auprès de Hugo Riemann. Lorsqu'à l'automne 1890, ce professeur, que Reger admire au plus haut point, part enseigner au Conservatoire de Wiesbaden, il le suit afin d'y poursuivre ses études. Tout en se livrant à l'étude de la grande littérature pianistique de Beethoven jusqu'à Brahms, il étudie minutieusement le "Clavier bien tempéré" de J.S. Bach, qui lui servira de modèle pour sa propre technique de composition, basée sur le contrepoint. Reger devient vite l'assistant de son maître respecté, en tant que chargé de cours au Conservatoire, dans les disciplines piano et orgue, et grâce à des revenus supplémentaires, obtenus en donnant des cours particuliers, il peut prendre son indépendance, étant à même de subvenir à ses besoins. Lorsqu'en 1895, Riemann commence à enseigner à l'Université de Leipzig, Reger prend également en charge la classe de théorie au Conservatoire de Wiesbaden. La maison d'édition londonienne Augener s'étant déclarée prête à publier ses oeuvres, il se présente alors au public en tant que compositeur. Johannes Brahms, à qui il soumet son opus 16, afin qu'il en fasse la critique, lui fait des compliments. Ferruccio Busoni l'incite à venir à Berlin. En 1895, il commence à écrire un concerto pour piano, à l'intention de Eugen d'Albert, mais cet ouvrage reste malheureusement inachevé. C'est également à cette époque qu'il fait la connaissance de Richard Strauss, avec qui il restera lié sa vie durant.
En 1896, le service militaire vient interrompre son incessante activité à Wiesbaden. Il s'avère que Reger n'est pas suffisamment solide, physiquement, pour répondre à ce que l'on attend de lui. Il tombe gravement malade et revient finalement chez ses parents à Weiden en 1898.
Durant son séjour à Wiesbaden, il fait encore deux rencontres très décisives. Il y fait la connaissance d'Elsa von Bagenski, sa future épouse, et rencontre à Francfort, au cours de concerts donnés à l'église St Paul, Karl Straube; du même âge que lui, un remarquable organiste et un interprète enthousiaste de la musique d'orgue de Reger. Ils seront liés par une amitié qui durera leur vie durant et dont témoigne une intense correspondance.
C'est durant son séjour à Wiesbaden, de 1898 à 1901, qu'il compose ses premières grandes oeuvres pour orgue, parmi lesquelles se trouvent ses vastes fantaisies de chorals. Il est très instructif de connaître les matières et les sujets qui intéressent Reger. Le chant religieux allemand le fascine. Il étudie l'"Inferno" de Dante. Il se livre continuellement à une analyse de ce génie qu'est Bach. Il étudie la littérature de son époque et compose des "Lieders" sur des textes de différents écrivains, qui lui sont contemporains. Tous ces détails nous permettent de mieux comprendre quelle vision intérieure du monde avait Reger.
Après le départ en retraite de son père, il quitte Weiden en 1901 et vit avec ses parents à Munich. En 1902, il épouse Elsa von Bagenski. Il se produit en tant que pianiste au cours de longues tournées. Il devient temporairement chargé de cours à l'Académie Royale de Musique. C'est durant son séjour à Munich que sont publiés ses op. 60 à 100. Son activité de chef de choeur, à la tête du célèbre choeur Porges, entreprise avec enthousiasme, ne dure qu'un an. Les programmes qu'il échafaude, en n'acceptant aucun compromis, ainsi que les éxigences extrèmes dont il fait preuve envers les chanteurs, mais également sa manière brutale de vouloir imposer ses fins musicales lui font perdre plus d'un sympathie. A l'Académie aussi, il est en proie à beaucoup d'hostilité, si bien qu'après la première crise portant atteinte à sa santé, une paralysie du côté droit, après un concert à Berlin en Avril 1906, il n'hésite pas à démissionner de son poste de chargé de cours. Des tournées de concerts le mènent jusqu'à Saint Petersbourg.
En 1907, il devient Directeur de la musique à l'Université de Leipzig. Parallèlement, il commence à enseigner au Conservatoire de Leipzig, en tant que professeur de théorie, poste qu'il occupera à vie. Sa production musicale à cette époque est importante, mais l'orgue est presque absent. Il est bien trop occupé par les compositions pour choeur qu'il doit écrire, la musique de chambre et les oeuvres pour orchestre. Malheureusement, il y rencontre à nouveau le même genre de problèmes qu'à Munich, si bien qu'il en arrive finalement à penser que sa situation munichoise était moins pénible, que celle qu'il connait actuellement dans son université de Leipzig. Il renonce à son poste de Directeur de la musique à l'Université et se limite à son poste d'enseignant au Conservatoire, qu'il tient à conserver. Tandis qu'à Leipzig il ne rencontre que des difficultés, sa renommée s'étend de manière surprenante dans le reste de l'Allemagne, en Europe et même aux U.S.A., et particulièrement en Suisse et en Angleterre. Au cours d'une tournée de concerts à Londres (1909), il est fêté avec beaucoup d'enthousiasme et ses oeuvres sont présentées dans de nombreux concerts.
En 1911, Reger est nommé conseiller aulique et appelé par le Duc Georg von Meiningen à la direction de l'orchestre de la Cour de Meiningen. Sous la direction de Reger, cet orchestre, qui fait de nombreuses tournées de concerts et doit faire face à des tâches de plus en plus importantes, devient un des orchestres de pointe de l'Allemagne et la renommée de Reger, en tant que chef d'orchestre, ne cesse de croitre. C'est pour lui l'occasion de faire connaître, d'une manière authentique, ses grandes oeuvres pour choeur et pour orchestre. A dire vrai, la plupart des oeuvres qu'il a composées durant son séjour à Meiningen sont destinées à l'orchestre, mais il écrit également deux grandes compositions pour orgue, les op. 127 et 129.
En 1914, il souffre d'une dépression nerveuse, due à ses inlassables tournées avec l'orchestre et renonce à son activité de chef d'orchestre à Meiningen. Mais alors qu'il est en convalescence, il écrit en 1914 déjà, ses "variations pour orchestre sur un thème de Mozart" op.132.
En 1915, il va s'établir à Jéna, où il réside dans sa propre maison. En dehors des "petits préludes de chorals" op.139a (écrits en partie d'après d'anciens modèles), il y compose la "fantaisie et fugue" op.135b pour orgue, dédiée à Richard Strauss, ainsi que les "Sept pièces pour orgue" op.145. Tout comme auparavant, il voyage beaucoup, étant très demandé comme chef d'orchestre et comme pianiste concertiste.
Le 10 Mai 1916, il a rendez-vous le soir à Leipzig, avec des amis, parmi lesquels se trouve Karl Straube. Durant cette réunion, il est victime d'une attaque d'apopléxie et on le ramène à l'hotel. Après avoir reçu les soins d'un médecin, il reste seul à l'hotel, où il meurt dans la nuit du 10 au 11 Mai.
Son ami Karl Straube nous dis: "Je n'oublierai jamais l'expression de son visage. C'est la plus étonnante que j'aie jamais vue sur une face humaine. En chemin pour la pays inconnu, il doit avoir eu de puissantes visions. Et peut-être a-t-il eu des entretiens mystérieux avec son Dieu en personne, sur le sens et le but de sa vie. Et Dieu a reconnu en lui un de ses loyaux serviteurs. Car c'est justement cela qui caractérise la personnalité et l'art de Reger; il comprit toujours ce qui avait vraiment de la valeur dans les choses surnaturelles et spirituelles. Les grandes valeurs de sa vie étaient liées aux choses religieuses". | |
| | | Bertrand Administrateur et Mahlerien du forum
Nombre de messages : 14522 Age : 41 Localisation : A Strasbourg dans mon musée imaginaire Date d'inscription : 12/02/2007
| Sujet: Re: Max Reger Ven 25 Jan - 16:03 | |
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| | | nachtmusik
Nombre de messages : 357 Age : 47 Localisation : Budapest, Hongrie Date d'inscription : 25/01/2008
| Sujet: Re: Max Reger Ven 25 Jan - 16:11 | |
| la bio, les photos, quel travail ! Tant mieux, on en parle pas assez !
Bon , il avait un peu une drôle de tête le Maxou, quand même, hein? (on dirait l'ogre dans le petit Poucet...) | |
| | | Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Max Reger Ven 25 Jan - 16:14 | |
| ah il a l'air de faire un grand père sympa!..malgré une "tronche" pas très souriante!!... et merci Narchmusik pour l'appréciation concernant l'interprétation de Dresde...en effet si en plus elle est lente et lourde...çà ne doit pas être l'idéale pour s'y mettre!! tu connais son (ou ses?) concertos pour violon ou piano? | |
| | | nachtmusik
Nombre de messages : 357 Age : 47 Localisation : Budapest, Hongrie Date d'inscription : 25/01/2008
| Sujet: Re: Max Reger Ven 25 Jan - 16:26 | |
| Je voudrais pas l'avoir comme grand-père quand même (moi il me fais peur...) Oui, effectivement, déjà que Reger c'est lourd, si tu ralentis encore tu finis par revenir au début Vraiment, je conseille la version de Järvi, bien que (à part Dresde) je n'en connaisse pas d'autre. Je connais son concerto pour violon (dans lequel j'avoue, je n'arrive pas à rentrer. J'ai l'impression que les mouvement sont interminables). En revanche pas son ou ses concertos pour piano. Je savais même pas qu'il avait écrit ça. | |
| | | Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Max Reger Ven 25 Jan - 16:32 | |
| oh..je viens de le voir cité (cto pour piano!) dans le coffret Capriccio! | |
| | | Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Max Reger Dim 12 Oct - 0:07 | |
| Trois suites pour violoncelle solo, Pieter Wispelwey et Paolo Giacometti pour les pièces au piano intercalées (Channel Classics 1996) Voilà pour le premier disque Reger dont je parlerai - il serait parfait si (techniquement) l'enregistrement n'était pas que simplement bon, on sent un peu trop qu'il pourrait être meilleur... | |
| | | joachim Le Chevalier mélomane
Nombre de messages : 1197 Age : 78 Localisation : Nord (Avesnois) Date d'inscription : 01/05/2007
| Sujet: Re: Max Reger Dim 12 Oct - 14:09 | |
| Reger me fait toujours penser à un Bach moderne : même rigueur souvent austère, amour des fugues et contrepoints et même genre de musiques instrumentales (les suites pour violoncelle seul ne sont pas légion).
Je ne connais pas l'enregistrement dont tu parles, mais j'ai entendu ces suites (et également celles pour alto seul), et personnellement je trouve qu'un instrument à cordes n'est pas fait pour jouer seul (les Caprices de Paganini, les suites d'Hindemith, me font le même effet) : il lui faut un minimum d'accompagnement, même s'il s'agit d'un second violon, ou violoncelle.
Ceci évidemment n'est que mon avis. J'aimerais mieux par exemple les sonates et partitas de Bach pour violon seul (ou les Suites pour violoncelle) avec un accompagnement de clavecin ou basse continue.
Je te choque ? | |
| | | Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Max Reger Dim 12 Oct - 15:42 | |
| en tout cas, en ce qui me concerne , tu ne me choques pas!, Passionné de Bach que je suis, ses sonate et suites pour violon et violoncelle sont surement ses oeuvres que j'écoute le moins, ...alors celles de Reger..je crains qu'elles m'ennuient pas mal | |
| | | Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Max Reger Lun 13 Oct - 0:52 | |
| - joachim a écrit:
- Je te choque ?
Non, pas même ! Ce qui me parle le (souvent) plus immédiatement, c'est un seul instrument, peu à peu j'ajoute des instruments. J'arrive même au grand orchestre ! Je sens en effet une grande différence entre un seul instrument et deux ou plus : il m'est par exemple difficile d'écouter avec une attention flottante un seul instrument, alors que c'est possible avec plusieurs. | |
| | | Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Max Reger Lun 13 Oct - 1:03 | |
| J’aime particulièrement la musique vocale de Reger. Carus s’est lancé dans ce domaine et j’ai pour l’instant les trois suivants, dirigés par Hans Christoph Rademann, que j’écoute avec un plaisir renouvelé : I. O Tod, wie bitter bist du (O mort que tu es amère) II. Es sungen drei Engel (Trois anges chantaient) III. Es waren zwei Königskinder (Il y avait trois enfants de roi) | |
| | | Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Max Reger Lun 13 Oct - 10:26 | |
| il s'agit de choeur à capella? | |
| | | Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Max Reger Mar 14 Oct - 0:11 | |
| Oui, a capella. Je leur résiste fort mal ! | |
| | | Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Max Reger Mer 12 Nov - 0:22 | |
| Alors que les précédents présentent des pièces chorales, le suivant entre dans le monde des Lieder : Blick in die Lieder (Aperçu des Lieder), Reger vocal V, Gotz Payer au piano, Andreas Weller, ténor (Carus 2006) | |
| | | Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Max Reger Mar 24 Mar - 0:39 | |
| Je réécoute une fois de plus Es sungen drei Engel, dirigé par Hans-Christoph Rademann. J'aime la musique chorale, en particulier celle de cette époque en Allemagne. Il y a toute une atmosphère de quiétude : quoique toutes les pièces ne soient pas religieuses, il y a une religiosité qui se dégage toujours de ces compositions. Tu dois en connaître, Jean ? | |
| | | Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Max Reger Mar 24 Mar - 1:09 | |
| toujours pas ceux de Max Reger d'autres, ? je ne crois avoir quelque chose...mais d'un compositeur très peu connus dont j'oublie le nom!..difficile à retrouver dans ce cas | |
| | | Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Max Reger Mar 24 Mar - 1:29 | |
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| | | Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Max Reger Mar 24 Mar - 1:32 | |
| Hélas non...pourtant je l'avais noté dans un coin de ma tête!...N'a til pas écrit un requiem pour choeur à capella? | |
| | | Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Max Reger Mar 24 Mar - 1:56 | |
| Seele, vergiss sie nicht (Âme, ne les oublie pas, n'oublie pas les morts) requiem de huit minutes. Lui aussi je l'aime, il va bien avec Reger (dir. Georg Grün, Carus 2003) | |
| | | Jean-Michel Administrateur
Nombre de messages : 6418 Age : 66 Localisation : En Alsace Date d'inscription : 04/04/2008
| Sujet: Re: Max Reger Sam 19 Déc - 0:17 | |
| Concerto pour piano, Münchner Rundfunkorchester dir. Ulf Schirmer, piano Michael Korstick – a la suite le concerto de Busoni d’après le BWV 1052 (CPO 2009 Tout à fait inoui, ce concerto réputé pour être difficile. Je ne vois pas trop pour l’instant qu’en dire. Je renvoie donc à une critique qui ne donne d’ailleurs pas non plus vraiment une idée de ce qu’on entend. | |
| | | Jean Sage du forum
Nombre de messages : 12123 Age : 81 Localisation : Hte Savoie Date d'inscription : 10/04/2007
| Sujet: Re: Max Reger Sam 19 Déc - 0:38 | |
| Comme j'aime bien les concertos en genénral et pour piano en particulier...je me disais "Tiens un Reger qui va m'ouvrir la porte à sa musique...mais la critique même si elle est élogieuse, me renvoit à un Reger austère et ardu...et ce n'est pas Alfred Brendel qui va me décider!! | |
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| Sujet: Re: Max Reger | |
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| | | | Max Reger | |
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