Au piano encore, Christian Zacharias. Et quand vous aurez bien entendu les versions, mettez Evguéni Sudbin, au piano encore, et vous entendez encore autre chose dont vous ne reviendrez pas. Le jeu de Sudbin est aussi charmeur que les photos dont Bis habille ses disques, et il est de plus profond.
Mais je ne connais pas Arodaki.